Il ne se fait malheureusement plus de grands films comme Amadeus de nos jours, et par sa qualité scénaristique et cinématographique, même ceux et celles qui n’ont aucun intérêt pour la musique classique risquent d’apprécier ce chef-d’œuvre de Milos Forman.
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L’OSM a joué Mozart comme on joue habituellement Beethoven et, croyez-moi, c’est un compliment. C’était tout à fait rafraîchissant d’être surpris par des forte joués fortissimo sans pour autant que le public soit assourdi.
La Sonate pour deux pianos en ré majeur aurait des effets bénéfiques surprenant.
Dans le prolongement de sa série d’enregistrements ayant pour préfixe Flûte passion, Nadia Labrie lance ces jours-ci Flûte passion : Mozart. Pour cet album Analekta, Labrie est entourée d’Antoine Bareil, violon; Isaac Chalk, alto et Benoît Loiselle, violoncelle. Au programme, quatre quatuors pour flûte, violon, alto et violoncelle ainsi qu’un andante.
La musique classique, celle composée par Wolfgang Amadeus Mozart en particulier, rend-elle plus intelligent et pourrait-elle combattre l’épilepsie? Le Détecteur de rumeurs fait le tour de cette hypothèse suffisamment séduisante pour avoir engendré de nombreux livres et DVD pour enfants.
C’est un superbe concert qu’il nous a été donné de voir mercredi dernier à la Maison Symphonique. Jumelant deux tempéraments musicaux distincts: l’un par le lyrisme du concerto pour piano no. 20 de Mozart, l’autre par la grâce infinie de l’œuvre de Debussy, ce concert demeurera probablement parmi l’un des plus mémorables pour les mélomanes montréalais.
Le Festival international du Domaine Forget de Charlevoix nous a habitués à des programmations variées et de haut calibre et celle de la 41e édition ne fait pas exception. Au contraire, elle en rajoute une couche.
L’heure était à la promenade dans les rues chargées d’histoire de Prague, jeudi dernier à la Maison symphonique, alors que l’Orchestre symphonique de Montréal (OSM) présentait un programme réunissant Mozart et Dvorak autour de morceaux évoquant la capitale de la République tchèque.
C’est une oeuvre dichotomique pour le moins audacieuse qu’aura offert le Eifman Ballet de Saint-Pétersbourg, mercredi soir à la salle Wilfrid-Pelletier de la Place-des-Arts, devant un auditoire conquis d’avance.
Il arrive parfois qu’à l’écoute d’un nouvel enregistrement d’une œuvre célèbre on ait l’impression d’avoir entendu la même chose un bon nombre de fois. Dans cette nouvelle parution des Nocturnes de Chopin, nous échappons heureusement à cette sensation.