Ces dernières semaines, d’aucuns se sont émus du fait qu’aux États-Unis, l’administration Trump semblait carrément se concerter pour discréditer le Dr Anthony Fauci. Cette volonté d’amoindrir la place de la science dans les décisions politiques n’a toutefois rien de nouveau… il existe même un registre!
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La tactique n’est plus dissimulée, mais clairement énoncée: selon le président américain sortant, Donald Trump, il n’est pas question de financer davantage le service postal américain, l’USPS, pour que celui-ci soit mieux équipé pour traiter les millions de bulletin de vote par correspondance qui devraient affluer lors de la présidentielle de novembre. Et selon une nouvelle enquête, la moitié des électeurs s’attend à éprouver des problèmes pour voter, le 3 novembre.
Un choix évident pour certains, pas assez progressiste pour d’autre; un choix consensuel, ou une décision « extrême »… Le candidat présumé des démocrates à la présidentielle américaine, Joe Biden, a choisi mardi la sénatrice démocrate Kamala Harris comme colistière. Cette dernière devient la première femme noire à faire partie d’un ticket présidentiel démocrate ou républicain.
Coup de tonnerre aux États-Unis, où les tensions entre Washington et Pékin viennent de repartir à la hausse. Le président américain Donald Trump a signé une décision exécutoire, jeudi soir, interdisant d’ici 45 toute transaction financière en lien avec les populaires applications chinoises TikTok et WeChat.
Confrontée à des attaques sans précédent de la part de l’actuel président américain, Donald Trump, contre la liberté de presse, Reporters sans frontières en appelle aux deux adversaires en vue de la présidentielle de novembre, républicain comme démocrate, d’adopter huit recommandations pour assurer que les journalistes pourront faire leur travail sans entraves au lendemain de l’élection.
Les manifestations et les violences policières suivant le meurtre de George Floyd, un quadragénaire noir asphyxié par le policier Derek Chauvin, auront mis en évidence un phénomène qu’il sera impossible d’éviter lors de la prochaine élection présidentielle américaine, en novembre: au pays de l’Oncle Sam, les divisions en matière de genre, d’éducation et de couleur de peau n’ont jamais été aussi importantes entre les républicains et les démocrates.
Confronté à un réseau social qui a finalement – et très timidement – réagi au torrent de mensonges, de demi-vérités et de messages manipulateurs qu’il y déverse tous les jours, le président américain Donald Trump a signé jeudi un décret visant à retirer à Twitter, mais aussi aux autres réseaux sociaux, certaines protections juridiques les empêchant d’être poursuivis pour le contenu qui est publié sur leurs plateformes.
Il fallait s’y attendre: après tout, le président des États-Unis, celui-là même qui doit normalement représenter l’autorité politique suprême du pays, n’a-t-il pas affirmé à maintes reprises, au début de la pandémie, que la COVID-19 « est comme une grippe », et « qu’elle disparaîtra bientôt, par miracle »? Selon un récent sondage du Pew Research Center, la confiance des Américains envers les scientifiques et les autorités médicales a augmenté depuis le début de la crise sanitaire, mais cet appui est divisé en fonction des allégeances politiques.
Ces dernières semaines, le gouvernement américain n’a pas seulement accusé la Chine d’être responsable de la pandémie. Il a plus discrètement mis la hache dans un programme de recherche sur les chauves-souris et le coronavirus qui était en cours depuis plus de 10 ans.
Pour la première fois de l’histoire récente des États-Unis, la date de l’élection présidentielle américaine, prévue le 3 novembre, sera-t-elle reportée? Selon une enquête du Pew Research Center, la pandémie de coronavirus pourrait avoir un impact important sur la tenue de cet important processus politique. C’est du moins l’avis de 66% des personnes sondées, et une majorité des répondants proposent d’accroître la participation en favorisant le vote par la poste.