« Aujourd’hui, le risque le plus important est l’élément humain – la désinformation, la propagande, la manipulation via les médias, les efforts ciblés pour faire en sorte que des populations précises votent ou ne votent pas, ainsi que les tentatives d’autres pays pour provoquer le chaos ou interférer dans nos élections. »
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Au dire des auteurs des travaux, cette polarisation est « devenue partie intégrante » de la société américaine, potentiellement en raison d’une exposition à de multiples campagnes électorales au fil des décennies.
50% des adultes américains interrogés dans le cadre de l’étude jugent qu’un tel blocage est « peu probable », contre 31% qui croient que l’interdiction ira de l’avant.
Chose surprenante, les points de vue par rapport à la justesse et la véracité du processus électoral se sont carrément inversés, entre républicains et démocrates, entre 2020 et 2024.
Rien que dans le secteur environnemental, les recommandations de Project 2025 incluent le démantèlement partiel de l’Agence de protection de l’environnement, de la plupart des politiques environnementales actuelles et des politiques chapeautant la transition vers les énergies vertes.
War Game est intéressant, en plus de nous rappeler que nos voisins du Sud, avec leurs profondes divisions politiques, ne sont pas à l’abri de nouveaux débordements. Mais ceux qui s’y plongeront pour y trouver une simulation stressante et enlevante du début à la fin seront malheureusement déçus.
« Nos travaux nous indiquent que les médias sociaux manquent de transparence, même pour des choses aussi importantes que des élections nationales. »
Et cette perspective ne s’améliore pas lorsque vient le temps d’évaluer la conduite de l’un ou l’autre: à peine le quart des électeurs (26%) disent approuver la façon dont agit le candidat démocrate, alors que cette proportion est encore plus faible du côté du candidat républicain.
C’est le Mexique, mais aussi le Costa Rica, la République dominicaine, Panama, ou encore le Salvador et le Honduras, qui feraient partie des nations les plus exposées aux retombées d’engagements d’une future administration Trump. Sans oublier le Canada, dont le commerce extérieur passe largement par les États-Unis.
Cet appui varie largement en fonction des pays d’origine des répondants: en Pologne, par exemple, qui s’est longtemps trouvée sous le joug de l’URSS, l’OTAN obtient la faveur de 91% des participants.