Qui d’autre que KGLW pour « prendre une pause » en enregistrant un album tout à fait solide? Le défaut de Flight b741 sera peut-être, justement, de ne pas proposer de pièces véritablement différentes – du moins, pas assez pour vraiment se démarquer –, mais bien franchement, nul besoin de constamment réinventer la roue. Parfois, une bonne dose de dad rock est tout ce qu’il nous faut. Dont acte.
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Il ne fait aucun doute que The Silver Cord fait partie des disques les plus aboutis, les plus complets du groupe. Création musicale aussi difficile à saisir que rocambolesque, cet album est à classer parmi ceux qui finissent par essouffler les mélomanes, tant ils sont exigeants.
Tour de force musical qui gagne en puissance à chaque écoute, PetroDragonic Apocalypse prouve que King Gizzard and the Lizard Wizard continue de gagner en maturité et en capacités mélodiques. Un album coup-de-poing qui appuie bien fort là où ça fait mal.
Laminated Denim est un peu plus de King Gizzard and the Lizard Wizard. Et du KGLW léché, efficace et qui s’écoute franchement bien. À ajouter à une musicographie qui grandit, grandit, grandit…
Album costaud, album complexe, mais aussi album fascinant et entraînant, Ice, Death, Planets, Lungs, Mushrooms and Lava est aussi mouvementé que son nom est long. Mais pour les amateurs du groupe, il s’agit d’un ajout tout à fait approprié à une titanesque discographie qui compte déjà 21 titres…
Album bigarré, certainement. Album avec d’excellents titres, aussi. Mais album, en un sens, qui donne un peu l’impression, sans trop gâcher le plaisir, que les gars d’Australie avaient certaines chansons qui traînaient ici et là.
Made in Timeland occupe une place à part dans le panthéon musicale du groupe australien; une oeuvre majeure, mais sortant aussi à un point tel de l’ordinaire qu’elle échappe à la logique traditionnelle.