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Des explosions! Un grappin! Encore des explosions! La très populaire série Just Cause est de retour avec un troisième volet toujours plus ambitieux, toujours plus vaste, et surtout toujours plus chargé d’effets de particules qui volent dans tous les sens.

On ne le répétera sans doute jamais assez: critiquer des jeux incomplets est toujours une tâche délicate et difficile. Après tout, les développeurs n’offrent pas un produit fini, et on se retrouve même parfois avec un produit que l’équipe décrit clairement comme sujet à changements majeurs au fil des mises à jour.

La guerre gronde aux frontières de la Russie. À Moscou, un gouvernement ultranationaliste a entrepris de reformer l’empire soviétique, dusse-t-il déclencher une guerre régionale, voire mondiale. L’année n’est cependant pas 2014, avec Poutine au pouvoir au Kremlin, mais plutôt 2008, et l’action se déroule dans le jeu Ghost Recon.

Avez-vous ce qu’il faut pour perpétuer la civilisation humaine parmi les étoiles? Monument du jeu de stratégie au tour par tour, se trouvant encore aujourd’hui bien installé sur le trône du genre, siégeant au-dessus d’un successeur ô combien décevant, Alpha Centauri accuse son âge, mais les principes qui le guident n’ont, eux, pas pris une ride.

 »Et puisse le sort vous être favorable! » La célèbre phrase tirée de la série Hunger Games résonne indéniablement dans la tête du joueur lorsque vient le temps de se lancer dans The Culling, un jeu de combat massivement multijoueur développé par Xaviant.

Sur l’écran, les unités ennemies, les explosions, les multiples projectiles et les traînées lumineuses émises par les débris créent un maelström multicolore. Si l’on y ajoute une trame sonore tonitruante, une histoire simple mais efficace et des contrôles qui répondent bien, on obtient Super Galaxy Squadron EX, un excellent shoot’em up récemment sorti en ligne.

Monument indétrônable des jeux de stratégie en temps réel, Red Alert, possiblement encore plus que son grand frère Command and Conquer, représente ce qui se fait de mieux dans le domaine. Une vingtaine d’années après sa sortie, le titre, bien qu’ayant vieilli, continue d’inspirer joueurs et développeurs.

« We didn’t start the fire »… Les paroles de la chanson de Billy Joel résonnent étrangement en tête alors qu’Henry, un quadragénaire aux larges épaules et aux mains de bûcheron, arpente les sentiers d’une réserve naturelle du Wyoming dans Firewatch, un jeu développé par le studio Campo Santo et édité par Panic. Le titre est disponible depuis le 9 février.

Le jeu comme un monstre. Un abîme sans fond où il fait pourtant bon s’engouffrer. Une pénétration exquise à l’intérieur du sexe d’une succube sans nom. Sur les planches du Théâtre Prospero, Le Joueur offre un plongeon dans l’horreur.

Ah, Need For Speed! L’exemple ultime d’une franchise qui a réussi, tant bien que mal, à survivre à deux décennies de changements technologiques et culturels en demeurant (relativement) fidèle à ses racines. Et ce, sans grand trou noir où le titre se retrouve dans les limbes pendant plusieurs années.