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Un an après les dernières élections législatives du 29 octobre 2016 en Islande et dix mois après que la dernière coalition tripartite ait formé le gouvernement islandais le 9 janvier, les résultats aux élections du 28 octobre risquent de plonger les politiciens dans un nouveau casse-tête d’alliances afin d’administrer cette société en mutation.

À la suite du scandale, le parti Bright Future a quitté et rompu la coalition au pouvoir en Islande. Le président Guðni Thorlacius Jóhannesson a fixé une date pour de nouvelles élections. Si l’Independence Party a perdu 6% des intentions de vote, les Pirates mettent de l’avant le projet de nouvelle constitution, d’après Reykjavik Grapevine.

La présence de policiers armés à l’événement familial de la Color Run ayant lieu tous les premiers samedi du mois de juin a semé la controverse. Le webzine islandais Reykjavik Grapevine critique la nouvelle stratégie de sécurité du gouvernement du premier ministre Bjarni Benediktsson, le 13 juin.

Quelques mois après la défaite électorale de son parti, l’ex-premier ministre de l’Islande et tête d’affiche du scandale des Panama Papers, Sigmundur Davíð Gunnlaugsson revient en politique, rapporte le webzine islandais Reykjavik Grapevine le 30 mai. Son think tank a pour objectif de régler les problèmes du pays.

La proportion de francophones inscrits au cégep anglais a connu une augmentation deux fois plus rapide en cinq ans qu’au cours des 25 années précédentes, rapporte l’analyste politique Michel David dans Le Devoir du 2 mai. Le chroniqueur du webzine Reykjavik Grapevine, Halldór Armand propose une explication à ce problème d’acculturation qui affecte également les jeunes Islandais.

En terre d’Islande, la Deuxième Guerre mondiale entraîne son lot de problèmes. Officiellement neutre dans le conflit, le pays est de facto occupé par les forces britanniques, puis américaines, afin d’éviter une invasion par l’Allemagne nazie. Dans ces circonstances délicates, un meurtre sordide fera planer les pires soupçons.

Qui ne s’est jamais laissé séduire à l’idée que les nouvelles technologies allaient permettre de régler les problèmes politiques par leurs outils de gestion accessibles? Le professeur en études européennes, méditerranéennes et philosophiques de l’Université de New York, Tamsin Shaw passe au tamis le recours au behaviorisme facilité par les nouvelles technologies dans le New York Review of Books du 20 avril.