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En physique, l’antimatière est simplement « l’opposé » de la matière. Les particules d’antimatière possèdent la même masse, mais leurs propriétés sont inversées, y compris la charge électrique. Si l’antimatière peut être créée en laboratoire, elle est souvent accompagnée de matière, ce qui entraîne la disparition des deux types de particules et un dégagement d’énergie. Ce qui intrigue, toutefois, c’est que la très grande majorité de l’univers est formé de matière. Pourquoi n’y a-t-il pas de galaxies d’antimatière?

Tel que prouvé par certains incidents particulièrement controversés, comme le scandale impliquant Facebook et Cambridge Analytica, les médias sociaux peuvent représenter une véritable mine d’or en matière d’informations personnelles. De fait, des chercheurs d’un peu partout dans le monde ont tenté de développer des outils pour analyser l’activité sur les médias sociaux et récupérer automatiquement des informations sur les positions des internautes sur divers sujets.

Effet d’une génération qui vit le nez collé sur son téléphone? Voilà que des groupes se sentent obligés d’enseigner à de futurs employés, ou à des gens qui veulent sortir de leur solitude, qu’il est important de faire un contact visuel avec la personne à qui l’on parle.

Une nouvelle étude de chercheurs en psychologie de l’Université de Miami sur les interactions anonymes suggère que les humains « éteignent » leur propension automatique à partager des éléments dans le cadre d’interactions avec des étrangers.

En plus de leur capacité à réduire les coûts immobiliers, l’argument en faveur des bureaux à aire ouverte est qu’ils devraient agir comme catalyseur de la chimie humaine, permettant d’accroître les échanges et discussions entre collègues, histoire d’attiser la créativité et la collaboration.

Depuis l’invention du télégramme, l’adoption de nouvelles technologiques, telles la télévision, les téléphones intelligents et les médias sociaux, a souvent mené à des craintes d’un déclin des interactions en personne et d’une possible baisse du bonheur. Des chercheurs des Universités du Missouri et du Kansas ont découvert que l’utilisation des médias sociaux n’avaient pas d’impact négatif significatif sur les interactions sociales, ou sur le bien-être.

Peu importe la haute opinion que vous avez de vous-même, les personnes que vous suivez sur Twitter ont – et c’est un fait – plus d’abonnés que vous. Et il en va de même de vos amis Facebook.

Vous trouvez que certaines personnes traînent, et ça vous agace. Ou au contraire, les gens qui vous entourent sont constamment pressés, et vous vous questionnez sur les raisons de cette course perpétuelle. Des chercheuses de l’Université McGill viennent de trouver une partie de la réponse: une meilleure coordination s’opère lorsque les gens bougent à la même vitesse.