Hugo Prévost et Kevin Laforest discutent du plus récent film du scénariste et réalisateur Steve McQueen.
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Hugo Prévost et Chloé Baril explorent cette oeuvre coup-de-poing qui a fait courir les foules au festival Cinémania.
Gladiator II continue de montrer l’entêtement pratiquement honorable de Ridley Scott de persister, signer et continuer à n’en faire qu’à sa tête. De poursuivre une vision en grand angle du monde d’hier et d’aujourd’hui et d’avoir les tripes d’aller au bout de ses projets à vive allure. Il a, après tout, sa propre formule pour les films d’époque, qu’il produit et réalise depuis des décennies déjà. Dommage, toutefois, que le véritable plaisir commence cruellement à manquer et qu’à mi-chemin entre le désir de faire plaisir aux autres ou de se faire plaisir à lui-même, il donne surtout l’impression de nous faire perdre notre temps.
Teddy Lussi-Modeste et son film, sorte de charge contre le mouvement #MeToo, s’obstinent à vouloir présenter un seul et unique point de vue dans un domaine où l’écoute de l’autre est essentielle. En ce sens, le long-métrage rate une belle opportunité de faire oeuvre utile.
La prémisse semblait bien intéressante, mais Stockholm Bloodbath semble incapable de se brancher; il en résulte un film brouillon, parfois mal exécuté, au rythme particulièrement inégal. C’est bien dommage!
Bergers est donc un film satisfaisant qui s’écoute entre rêverie et idéologie, mais qui blesse un peu plus quand vient le temps d’appliquer ses théories, nous ramenant trop souvent abruptement sur terre, plutôt que de nous laisser la tête dans les nuages.
Dans cet épisode du podcast, nos vaillants coanimateurs assistent à un télescopage entre un repas familial juif traditionnel et une saga de science-fiction mêlant vaisseaux intergalactiques et village du nord de la France.
The Piano Lesson est sans l’ombre d’un doute une énième tentative de Netflix de produire une oeuvre qu’on qualifie habituellement d’Oscar bait, mélangeant des éléments clés qu’on pense attribuer à une formule gagnante, un sujet d’actualité en extra. De quoi faire regretter encore plus que ce film qui avait tout pour séduire, mais qui nous donne plutôt envie de l’oublier avant même qu’il ne soit terminé.
Même s’il est un peu moins intéressant que certaines de ses productions récentes, notamment Knock at the Cabin ou Old, M. Night Shyamalan livre quand même un thriller honnête qui réussit à nous tenir en haleine jusqu’à la fin avec Trap.
De Merci pour tout à 23 décembre (dans les exemples plus récents), Le Cyclone de Noël continue de démontrer qu’on n’a toujours pas percé le mystère de ce genre cinématographique très précis qui rapporte pourtant habituellement gros de l’autre côté de la frontière. Comme quoi on ne risque pas, nous non plus, de changer nos habitudes face à cet univers et on préférera attendre que le tout arrive dans le confort de notre salon pour s’y attarder.