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Il y a un siècle et demi, environ, le début de l’intérêt d’Auguste Escoffier pour l’alimentation et la gastronomie allait transformer la façon dont la nourriture était produite – et par ricochet, dégustée, consolidant au passage la place de la France au panthéon de la bonne chère. Le tout est résumé de fort belle manière dans le documentaire Auguste Escoffier, ou la naissance de la gastronomie moderne.

Véritable coup de foudre pour L.A. Tea Time, plus récent film de la jeune Sophie Bédard Marcotte, attrapé sur grand écran dans le cadre des Rendez-Vous Québec Cinéma, rappelant la nécessité d’un tel festival pour faire le plein de ces petits bijoux qui nous ont échappé dans la dernière année.

Peut-on en vouloir à un film qui n’arrive pas à la hauteur de sa plus belle scène, qui est certainement l’une des plus belles de l’année? Ou à l’inverse, un film peut-il subsister ne serait-ce que pour une scène qui frôle le génie? Nul doute qu’avec toutes ses imperfections, le film argentin Fin de siglo, présenté au festival Image+Nation, ne nous aura certainement pas laissé indifférents.

Un festival de documentaires laisse croire à un rendez-vous d’intellectuels urbains, c’est faux! En vue des 22e Rencontres internationales du documentaire de Montréal (RIDM) du 14 au 24 novembre 2019, la programmation lancée le 23 octobre à la Cinémathèque québécoise n’est pas différente de ce que les gens ordinaires peuvent voir en ligne, mais avec un certain souci de réalisme.

Des films provocateurs, il y en a. Des films qui hantent et marquent les esprits, aussi. Des films au style éclaté et à la poésie calculée? Également. La proposition de Nadav Lapid est tout cela et bien plus encore; un feu d’artifice épatant dont on ne ressort définitivement pas indemnes. Nul doute, Synonymes est un des grands coups de l’année cinématographique.

C’est ce mardi que la tant attendue programmation de la 48e édition du Festival du nouveau cinéma a été inaugurée. Du 9 au 20 octobre, les festivaliers auront la possibilité de visionner de nombreuses primeurs, de participer à plusieurs événements connexes et de rencontrer quelques invités d’honneur.

Présenté en grande première mondiale et devant une salle comble à Fantasia, le long-métrage Aquaslash, avec son titre très approprié, aurait pu et aurait dû représenter la quintessence du slasher québécois (pratiquement inexistant dans notre filmographie), mais ce pastiche péniblement réalisé fait peine à voir, et est encore plus douloureux à endurer.