Chez l’Oncle Sam, ce sont à peine le tiers des participants (34%) qui ont une bonne opinion des réseaux sociaux. Vient ensuite la France, les Pays-Bas, l’Australie, la Belgique, le Canada et le Royaume-Uni, où l’on s’approche davantage de l’équilibre entre partisans et détracteurs de ces moyens de communication et d’échange dans un contexte politique.
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Le chroniqueur répond aux questions d’Hugo Prévost à propos de la difficulté de rejoindre les internautes (et ses propres enfants), le fait de donner son opinion en ligne et l’attrait de cette forme de communication très web 1.0.
Que l’écosystème de la désinformation en santé soit lucratif en ligne, en partie grâce à la « monétisation » des contenus que permettent les grandes plateformes, n’est évidemment pas une découverte.
La centralisation aux mains des plateformes que sont les Google, Amazon et autres Facebook, de même que la commercialisation de nos données personnelles, sont « deux problèmes connectés » l’un à l’autre.
Établir le dialogue: voilà le mandat de La Converse, un média web nouveau genre qui s’intéresse principalement aux enjeux touchant les minorités, ici comme ailleurs.
Moins du tiers des personnes interrogées (26 %) ont indiqué, l’an dernier, qu’elles payaient pour accéder à des nouvelles ou des actualités en ligne.
L’idée de neutraliser la désinformation par des stratégies préventives — soit de « vacciner » contre la désinformation, pour reprendre l’expression de certains chercheurs — a fait l’objet de plusieurs études dans la dernière décennie.
Sur Twitter (aujourd’hui appelé X), « la communauté dénialiste produit ou relaie 3,5 fois plus de messages toxiques » (définis comme « des obscénités, des insultes, des menaces, des attaques sur le genre ou la religion »)
La question des revenus publicitaires, qui est déjà au coeur des tensions entre les différentes plateformes et les médias qui y diffusent des contenus, n’est toutefois pas nécessairement plus claire sur ce service, à l’instar de Facebook, Instagram, Twitter et consorts.
Camille Dauphinais-Pelletier répond aux questions d’Hugo Prévost et explique comment le fait de s’adapter à de nouvelles plateformes est essentiel pour rejoindre le public et lui parler des enjeux de l’heure.