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L’incident de la centrale nucléaire Tchernobyl, le 26 avril 1986, a libéré un nuage toxique d’iode et de césium 137 radioactif qui s’est transformé en pluie, à 1303 km, au-dessus du sud de la région du Norrland en Suède. Après 30 ans, des traces de contamination persistent dans les rennes (caribous) et les wapitis, rapporte The Local le 21 avril.

À peine la note de passage: voilà ce que se mérite le Québec en matière de protection de l’environnement et de performance éco-énergétique dans le plus récent bilan du genre dressé par le Conference Board of Canada. Le document, publié à la veille du Jour de la Terre, accorde la note « C » à la province.

Ce vendredi 22 avril, Jour de la Terre, sera la première journée où les nations pourront officiellement signer l’accord de Paris, intervenu à la fin de la conférence sur le climat de décembre. Et si la tendance se maintient, avec 130 pays signataires, ce sera la plus grosse cérémonie de ce genre de l’histoire des Nations Unies.

Il y a 30 ans, la centrale nucléaire de Tchernobyl à Pripyat, en Ukraine, devenait le site du pire accident atomique de l’histoire. Si les humains sont désormais peu nombreux dans la zone d’exclusion entourant le site, une série d’études – y compris une recherche récemment publiée menée à l’aide de caméras photo par des scientifiques du Savannah River Ecology Laboratory de l’Université de Géorgie – viennent valider l’hypothèse voulant que la vie sauvage est abondante sur le site.

Les médias ont fait grand cas la semaine dernière d’une étude annonçant une hausse des océans de plus d’un mètre si la fonte de l’Antarctique s’accélère. Mais la véritable inquiétude est ailleurs: la fonte de l’Antarctique pourrait être bientôt impossible à arrêter.

Dans la série « pas encore un autre record », l’atmosphère aurait aujourd’hui atteint un niveau de CO2 inégalé depuis 56 millions d’années. Et nous y sommes arrivés dangereusement vite, par rapport à la dernière fois.

Le mois de janvier a battu un record (encore). Le cyclone qui a frappé les Fidji pourrait en être une conséquence. Mais en attendant, ce sont les records battus dans l’Arctique qui intriguent — et inquiètent.

Les voitures automatiques pourraient accroître l’utilisation de l’automobile, réduisant ou même éliminant les économies d’énergie et les avantages environnementaux mis de l’avant, révèle une étude réalisée par des chercheurs de l’Université de Leeds.