« Nos travaux nous indiquent que les médias sociaux manquent de transparence, même pour des choses aussi importantes que des élections nationales. »
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Et cette perspective ne s’améliore pas lorsque vient le temps d’évaluer la conduite de l’un ou l’autre: à peine le quart des électeurs (26%) disent approuver la façon dont agit le candidat démocrate, alors que cette proportion est encore plus faible du côté du candidat républicain.
En attendant le second tour et les résultats définitifs, de nouvelles manifestations sont prévues à Lyon et ailleurs en France, pour « montrer qu’on ne baisse pas les bras ».
« De la crise du logement à la menace de la crise climatique et de l’intelligence artificielle, les jeunes se disent qu’il n’y a plus d’espoir lorsqu’il est question des défis qu’ils doivent surmonter, et sont désillusionnés par un système politique qui ne répond pas à leurs besoins. »
Plusieurs environnementalistes et scientifiques, ces derniers jours, ont mis un frein aux espoirs que suscite son militantisme environnemental de longue date et son statut de scientifique.
La volonté de passer à autre chose et de pouvoir voter pour d’autres candidats est encore plus importante chez les électeurs plus jeunes, les deux tiers des moins de 30 ans souhaitant « faire le ménage », contre 54% des 30 à 49 ans et 43% des 50 ans et plus, indique encore le Pew Research Center.
Chez l’Oncle Sam, ce sont à peine le tiers des participants (34%) qui ont une bonne opinion des réseaux sociaux. Vient ensuite la France, les Pays-Bas, l’Australie, la Belgique, le Canada et le Royaume-Uni, où l’on s’approche davantage de l’équilibre entre partisans et détracteurs de ces moyens de communication et d’échange dans un contexte politique.
Dans certains pays où la concentration de la richesse est particulièrement importante, les milliardaires sont moins portés à se lancer directement en politique. Par exemple, le taux de milliardaires américains effectuant le saut en politique oscille autour de 3,7 %, soit bien en-deçà de la moyenne mondiale de 11 %.
Toutefois, être favorable à l’arrivée d’un troisième, quatrième ou cinquième parti politique ne veut pas dire que l’on soit prêt à voter pour un candidat à la présidence provenant de ces nouvelles forces.
Le fait d’imposer un âge maximal pour les élus fédéraux nécessiterait probablement un amendement à la Constitution, ce qui exige le feu vert des deux tiers de la Chambre et du Sénat, avec, par la suite, l’approbation des trois quarts des États.