« Compte tenu du volume d’aide qui entre maintenant dans Gaza, on voit clairement à quel point Israël a entravé l’action humanitaire au cours des 15 derniers mois. »
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La disparition partielle de cette mer est une réelle possibilité quand on se rappelle le sort de la mer d’Aral, à 1300 km de là. Elle était jadis le 4e plus grand lac du monde, elle est à présent à peine visible sur les photos satellites. Une étude parue en 2021 estimait qu’à ce rythme, la mer Caspienne aura perdu le quart de sa superficie avant la fin du siècle.
Selon une estimation des Nations unies, il y aurait à l’heure actuelle 3,6 milliards de personnes qui sont confrontées à un accès insuffisant à l’eau pendant au moins un mois par année — un chiffre qui pourrait atteindre les 5 milliards en 2050.
« Ces résultats suggèrent qu’il pourrait falloir attendre des décennies pour que le flot naturel des eaux souterraines permette de « nettoyer » les PFAS toujours présents depuis les années de fortes émissions, soit largement entre 1980 et 2019. »
Plus de la moitié de la population mondiale a des doutes sur la qualité de l’eau offerte par les différents réseaux d’aqueduc. Cela entraîne une consommation importante d’eau en bouteille, mais aussi des dépenses élevées pour éviter de cuisiner à la maison, en plus de favoriser le développement de problèmes de santé mentale.
« L’étude se termine avec une mise en garde sévère: l’Inde doit réévaluer le développement commercial des opérations de fracturation, en plus de mener une enquête scientifique rigoureuse à propos des impacts potentiels sur les ressources hydriques. »
Quelque 650 millions de personnes, en Afrique, vivraient dans des régions sans aqueducs ou autres systèmes de transport d’eau potable.
L’industrie agricole, qui utilise environ 80% de l’eau consommée dans cet État américain, devra s’ajuster à un avenir où l’eau servant à l’irrigation sera disponible en quantités moindres.
« Face à la destruction généralisée et aux très fortes restrictions imposées à l’acheminement de l’aide vers Gaza, qui ont des répercussions sur l’accès à l’eau et à d’autres articles de première nécessité essentiels à la survie de la population, il est urgent que la communauté internationale prenne des mesures décisives afin d’éviter de nouvelles souffrances en faisant respecter la justice et les droits humains. »
Il faut rappeler qu’il s’agit d’un accord non contraignant, c’est-à-dire qu’un pays qui n’atteint pas ses objectifs n’aura aucune « pénalité ». Et c’est en partie ce qui explique qu’en 2030, il y aura toujours 575 millions de personnes vivant dans une pauvreté « extrême », 600 millions souffrant de famine et 84 millions d’enfants sans accès à une école.