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L’hiver dernier, la métropole du Cap, en Afrique du Sud, faisait face à une telle pénurie d’eau qu’on envisageait d’en couper l’approvisionnement et de rationner la distribution de bouteilles d’eau à ses 4 millions d’habitants. Le Cap a fini par y échapper. Mais qu’arriverait-il si la prochaine victime, dans un pays riche, était non pas une, mais plusieurs grandes villes des États-Unis?

Quatorze années de données satellites révèlent qu’à travers le monde, sur 34 régions-clefs pour l’approvisionnement en eau potable, les tendances, largement à la baisse, peuvent être attribuées à l’humain ou aux changements climatiques dans les deux tiers des cas.

C’est de l’eau « non filtrée, non traitée, non stérilisée ». Appelée aussi de « l’eau crue » (raw water), vendue 37$ pour un contenant de 9 litres (2,5 gallons) dans une boutique de San Francisco. Et pour la modique somme de 15$, vous avez droit à un deuxième remplissage.

Les efforts effectués par les agriculteurs pour réduire la quantité de fertilisants atteignant les sources d’eau potable peuvent nécessiter des années d’attente avant d’avoir un impact, selon une nouvelle étude de l’Université de Waterloo dont fait état le site internet Phys.org.

Y a-t-il vraiment 4500 litres d’eau dans un steak? Pour répondre à cette question, qui nous a été posée par un lecteur, il faut se référer à une mesure appelée l’empreinte eau, qui désigne le volume d’eau douce nécessaire à la production d’un produit ou d’un aliment.

Pour cartographier le mouvement des eaux de surface, une récente initiative a collecté bien plus que des données. Elle a dopé la mobilisation citoyenne pour des projets de protection de l’environnement tout en intéressant le public à la science.

À revers de cet engouement pour l’exploration spatiale à la recherche d’eau sur Mars ou ailleurs dans l’univers, l’Agence spatiale européenne (ASE) a confirmé l’évaporation du lac Poopó en Bolivie. Au sol, les pêcheurs de la zone mordent la poussière.