La deuxième saison de House of the Dragon est clairement une proposition intérimaire, une oeuvre intercalaire qui cantonne bon nombre de ses personnages à des rôles consistant à marcher et regarder le temps qui passe. Espérons que les choses s’améliorent la prochaine fois, parce que l’élastique que l’on étire pourrait bien nous éclater au visage avant d’avoir droit à une conclusion satisfaisante.
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Toujours un sans faute sur le plan de la technique, Saving Private Ryan demeure un film marquant de l’histoire hollywoodienne. Force est d’admettre, toutefois, que l’esbroufe visuelle ne remplace pas un scénario très ordinaire et des personnages peu attachants que l’on fait disparaître au compte-gouttes, sans que cela ne nous affecte réellement.
Dans le cadre du festival Fantasia, deux courts-métrages explorent, l’un de façon sombre, et l’autre de façon plus excessive, la notion de bonne chair/chère.
Franchement bien rythmée, avec une excellente utilisation des espaces, de la lumière, des changements d’éclairages, Presumed Innocent est une oeuvre rafraîchissante dans un milieu télévisuel et cinématographique où les histoires de procès abondent. Ces huit heures consacrées à autant d’épisodes sont une utilisation tout à fait justifiée de notre temps… Profitons de cette télé audacieuse!
Il n’y a pas de doute, le chef Simon Rivard connaît bien son Beethoven et son engagement auprès des jeunes musiciennes et musiciens de l’OF est fort apprécié.
À la suite de l’écoute de ce Voyage d’Héliodore, on se réveille donc, en quelque sorte, après l’équivalent d’un voyage dans les étoiles, pour retrouver la beauté et la douceur de notre existence. La preuve, s’il en est, que cet album est une oeuvre qu’il est particulièrement agréable de découvrir et de visiter encore et encore.
1995 fait le travail. Et avec de petits détails non négligeables ici et là, même sous-développés, le film parvient à justifier une certaine pertinence. Combien de temps suivrons-nous Trogi dans ses aventures? Dur à dire, mais pour l’instant, on s’accroche avec lui et on se surprend à s’intéresser à comprendre pourquoi il est devenu qui il est devenu.
Non, The Stormlight Archive n’est pas de la « grande » littérature. Ce n’est pas non plus tout à fait du niveau de The Song of Ice and Fire, d’ailleurs. Mais l’ensemble est accrocheur, souvent fortement prenant, et assez divertissant pour qu’on en redemande. Peut-être faut-il simplement consommer avec modération, qui sait?
Roman franchement bien ficelé, roman vrai, roman complet, Spatriati est une puissante réflexion sur l’être, le paraître et le sentiment d’appartenance dans un monde déstabilisé. Un ouvrage à ajouter impérativement à sa bibliothèque.
Twister était assurément en avance sur son temps, alors que les changements climatiques donnent de nos jours naissance à des saisons des tornades de plus en plus dévastatrices, et cette version remastérisée en ultra-haute définition constitue le prétexte parfait pour voir (ou revoir) l’un des meilleurs films catastrophe jamais réalisés.