Film culte de 1977, SUSPIRIA, avec son atmosphère déjantée, ses décors psychédéliques, son incroyable musique et sa violence aussi absurde qu’excessive, a influencé 50 ans de cinéma d’horreur. Replongeons dans ce cauchemar éveillé.
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Efficace, franchement très réussi sur le plan visuel, avec assez de bagarre pour satisfaire les amateurs de violence entre robots, et surtout sans séquences superflues et sans explications trop compliquées, Gundam: Requiem for Vengeance est un très bon divertissement qui plaira aux amateurs de l’univers, mais aussi aux néophytes. À voir.
Au final, ironiquement, c’est peut-être justement l’égocentrisme qui a sauvé la franchise au dernier moment. D’avoir finalement voulu se lancer à fond dans le projet complètement fou qu’on avait en tête, qu’importe les balises imposées par sa source. Le film, divertissant au possible, est après tout régulièrement drôle, volontairement ou non (difficile d’en penser autrement quand Venom multiplie les vulgarités comme un « Hola bitches » bien lancé).
« Elle a souffert en silence. Elle était dépendante des décisions de Camus et elle a connu des frustrations à force de l’attendre jusqu’à sa mort. »
Avec une bonne dose d’idées originales et un style visuel franchement intéressant, les attentes étaient grandes pour It’s What’s Inside. Malheureusement, le film s’essouffle en fin de parcours, sans vraiment repousser les limites. C’est bien dommage!
L’objectif du Théâtre de l’Opsis, qui consiste à porter un regard neuf sur les classiques et de prioriser la direction des acteurs, est atteint haut la main; on a certainement envie d’en voir plus.
Bien réalisée, bien jouée, bien rythmée, The Perfect Couple est une dose tout à fait suffisante de drame et de traumatismes familiaux. De quoi se changer les idées pendant quelques heures, tout en éprouvant un peu de schadenfreude à propos de cette famille trop riche pour son propre bien.
Pour cette première partie du spécial halloween 2024, il faut se poser la question: 25 ans après sa sortie, le film scénarisé et réalisé par Daniel Myrick et Eduardo Sanchez tient-il toujours la route?
Impossible de s’y tromper: cette symphonie de Rachmaninov est clairement une oeuvre complète. Une pièce frondeuse, magnifique, qui respecte certes les thèmes du genre, mais qui n’a pas non plus peur d’innover, de repousser un tant soit peu les limites de l’art. Et entre les mains des musiciens de l’OSM, sous la direction du chef Vänska, l’oeuvre a semblé prendre vie. Comme si la création échappait aux mains de ses interprètes pour devenir quelque chose de plus grand, d’immortel.
Là d’où l’ont vient a des allures de fenêtre sur une réalité impossible à ignorer, un pari sur l’art pour rendre l’insurmontable plus tolérable. C’est aussi la démonstration des possibles quant à l’expansion d’un univers dont il restait encore bien des choses à explorer.