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La quatrième édition du Festival Ahuntsic en fugue a pris fin vendredi dernier en l’Église de la Visitation, quatrième et dernier des quatre lieux où s’étend le festival. On y présentait un programme intitulé Soirée romantique estivale. Les interprètes de la soirée étaient Julie Boulianne, mezzo-soprano; Hubert Tanguay-Labrosse, clarinette et Mathieu Gaudet, piano. L’animation du concert était assurée par Georges Nicholson.

À quelques jours de la rentrée des classes et de la fin inévitable de la saison estivale, l’organisme BookNet Canada, qui surveille de près les tendances de consommation de livres d’un océan à l’autre, publie deux courtes études sur l’attrait de ces oeuvres papier ou en format numérique auprès des vacanciers, ou des simples quidams se retrouvant avec un peu de temps devant eux.

Ah qu’il est cool! Ah qu’il est rythmé! Oui, The Hitman’s Bodyguard arrive à point pour terminer l’été du bon pied. Le hic? Ça ne fonctionne malheureusement pas à plein régime parce que tous les éléments, efficaces individuellement, clochent indubitablement lorsque mis côte à côte.

Taylor Sheridan est un excellent scénariste qui a probablement tout compris de l’importance de l’ambiance et de l’atmosphère dans ses histoires. En s’appropriant le rôle de réalisateur pour la première fois face à l’un de ses scénarios, il oublie malheureusement le rôle clé du récit qui se fait envelopper dans ses propres manivelles au détriment du spectateur qui en ressort beaucoup moins soufflé que par le passé.

Engagé par un puissant avocat du Caire pour enquêter sur le possible meurtre d’une jeune femme que celui-ci avait pris sous son aile, Makana, le détective héros des livres de l’auteur Parker Bilal, quitte cette fois la capitale égyptienne pour les confins du désert, dans la ville de Siwa, où il devra rouvrir de vieilles plaies pour obtenir les réponses désirées.

La résistance des Sioux au passage du Dakota Access Pipeline (DAPL) à Standing Rock a été le théâtre du changement de présidence aux États-Unis. À l’ombre de ces luttes politiques sincères, mais instrumentalisées par le pouvoir, les universitaires veillent à archiver l’authenticité de la diversité autochtone. 

Koreeda est l’un des cinéastes contemporains essentiels et l’un des grands représentants du cinéma japonais d’hier et d’aujourd’hui, transcendant les époques en gardant la famille comme point d’ancrage et de déroute. Son récent After the Storm est une petite merveille, et peut-être l’un de ses films les plus drôles jusqu’à présent. L’occasion idéale de le voir ou le revoir avec sa sortie en DVD.

Le problème avec Aftermath, c’est que tout dégénère lentement, mais sûrement. Poussant une idée intéressante en un bordel de ridicule qui ne rend pas justice aux nombreux talents qu’on a voulu exploiter. Cela rend l’écoute intrigante, mais pas nécessairement gagnante pour ceux qui oseront insérer le DVD dans un lecteur.