Les 17 danseurs et danseuses de la compagnie allemande tanzmainz offrent un spectacle de danse contemporaine incroyablement beau, intensément physique et d’une exécution millimétrée qui transmet une bonne part de son énergie folle au public.
Browsing: culture
La maison d’édition Les Requins Marteaux aime publier des bandes dessinées iconoclastes et décalées, et c’est encore le cas avec Bottleneck, l’un des albums les plus étranges depuis longtemps.
Film hautement revendicatif, bousculant l’âme comme une gifle sur les dérives de l’ordre supposément protecteur qui saccage l’enfant interprété magistralement par Alexis Tonetti âgé de 12 ans, Rien à perdre agit comme un coup de poing envers les institutions et réveille une foi en l’esquive humaine à leur échapper.
Entre art et science, la Rébellion du Minuscule permet de penser la contradiction et l’entre-deux, et de sortir de ce besoin pathologique qu’ont beaucoup d’entre nous de s’accrocher à des pseudos certitudes et de tout ranger dans des cases hermétiques pour en opposer les contenus plutôt que d’essayer d’en comprendre toute leur complexité.
On cherchait autrefois les correspondances entre microcosme et macrocosme, entre ce qui se passe au plus profond de l’humain et de son âme et le mouvement universel des planètes. Affaires intérieures propose un peu la même énigme dans un spectacle audacieux et parfaitement interprété.
L’intrigue et les dialogues du Misanthrope constituent un reflet fidèle d’une partie de la société dans laquelle nous vivons et, plus profondément, s’appuient sur des constats éternels de ce que l’on peut espérer de nos rapports humains.
Sans provoquer d’inondation, l’artiste joue de ces fuites dans une chorégraphie performative et sonore, parfois douce parfois proche de la transe. Tout un jeu érotique s’organise avec trois chevelures mouillées, celle de l’artiste et deux autres qu’elle agite dans les airs et sur son corps.
C’est effectivement le bédéiste bien connu pour sa série Les Nombrils qui a repris le flambeau du célèbre personnage d’André Franquin, et pour en apprendre davantage sur ce nouvel album fort attendu, Pieuvre.ca a eu le plaisir de s’entretenir avec lui.
Au fil de scènes tantôt poétiques, tantôt émotives, tantôt amusantes, tantôt libératrices, tantôt inquiétantes et on en passe, au moment où le film semble prêt à livrer ses secrets vers son dernier tour de piste, voilà qu’au détour d’un habile virage scénaristique et d’une mise en scène virtuose, Haigh vient complètement brouiller toutes les pistes possibles.
Astérix et sa bande ont fait vibrer des générations de lecteur petits et grands depuis les années 1960, et c’est un grand plaisir de constater que l’esprit de la série est toujours bien vivant dans L’iris blanc. Il s’agit d’un album très réussi, que les amateurs de bandes dessinées seront heureux de retrouver sous le sapin.