Si plusieurs ont été surpris de voir surgir cette année, sur les réseaux sociaux, une association d’idées entre chemtrails et feux de forêt, cette association d’idées remonte en fait à près d’une décennie. Une confusion s’est installée entre la théorie de la géoingénierie et la réalité de la géoingénierie. Une autre confusion semble s’installer entre les mots géoingénierie et chemtrails.
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Quelle qu’en soit la raison, l’addition de deux phénomènes météorologiques pourrait apporter un répit au réchauffement généralisé de la planète, après 13 mois consécutifs de records de chaleur.
Cela rappelle à quel point les glaciers contiennent probablement des quantités d’informations sur le passé de notre planète. Mais encore faudrait-il les recueillir avant qu’ils n’aient complètement fondu…
Il ne faut pas non plus sous-estimer le fait, écrivent en terminant les chercheurs, que des lois ou règlements n’apparaissent jamais dans le vide: l’opinion publique peut ne pas les accepter pour des raisons purement partisanes.
Si le mercure libéré par la fonte du pergélisol n’est pas une menace environnementale majeure, pour l’instant, ses impacts s’accumulent avec le temps. Les risques d’exposition augmentent à mesure que le métal s’accumule dans la chaîne aimentaire, particulièrement via les poissons et le gibier consommés par les humains.
« Il y a des choses que nous ne pouvons toujours pas prédire, et nous devons investir dans de meilleures données et dans une compréhension plus poussée des systèmes en question. Les enjeux sont trop importants pour s’appuyer sur des prédictions fragiles. »
En reconstruisant 12 000 ans d’histoire d’une zone représentative de ces forêts, une récente étude relève un étonnant parallèle entre les incendies de forêt contemporains et ceux survenus il y a 7000 ans.
Les méthodes alimentaires traditionnelles des habitants des communautés nordiques, comme la chasse, la pêche, la cueillette et le trappage ne sont pas incluses dans les stratégies de lutte contre la crise climatique.
L’industrie agricole, qui utilise environ 80% de l’eau consommée dans cet État américain, devra s’ajuster à un avenir où l’eau servant à l’irrigation sera disponible en quantités moindres.
La moyenne mondiale de 2023 a été estimée à 14,98 degrés, ce qui battait de 0,17 degré le record de 2016. Or, 0,17 degré représente un écart énorme en météorologie.