Il faut viser une prise de conscience dans la communauté scientifique du risque d’avoir autant de recherches pré-publiées de faible qualité qui pourraient continuer indéfiniment d’être citées.
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Tout n’est pas parfait: le taux de « mortalité excédentaire » — les décès qui dépassent la moyenne des années précédentes pendant une des vagues de COVID — est supérieur au taux observé dans d’autres pays de la région Asie-Pacifique (dont la Corée du Sud et l’Australie) quoique inférieur aux taux européens.
Selon une estimation récemment revue à la hausse par l’Organisation mondiale de la santé, le nombre total de décès de la COVID serait à présent de plus de 15 millions.
Plusieurs scientifiques se demandent s’ils sauront trouver les mêmes financements pour démarrer leurs propres recherches, dans l’après-pandémie.
La vaccination a donc réduit jusqu’ici la pression sur les hôpitaux et évité un nombre considérable de décès. Qu’en est-il de l’avenir?
Plus la pandémie s’étire dans le temps et plus un nombre disproportionné de non-vaccinés meurent de la COVID.
Dans son rapport publié le 3 juin, NewsGuard précise que les trois sites relayant de fausses informations les plus suivis sur les médias sociaux, tous trois anglophones, sont OANN.com, ZeroHedge.com, et OrganicConsumer.org.
« Il est important de noter que le taux de diminution de l’efficacité des vaccins n’est pas uniforme. Les personnes âgées sont moins protégées plus rapidement. »
« Lorsqu’on parle d’une étude, il faut aussi expliquer sa portée et ses limites pour bien éclairer le public. Qu’un scientifique soit capable de l’expliquer, cela enrichit le débat et cela permet à la recherche d’être mieux comprise. »
Lire une étude scientifique n’est pas à la portée de tous, surtout si elle est remplie d’un jargon hautement spécialisé. Et c’est ce qu’utilisent les créateurs de désinformation pour faire passer leur message trompeur.