La Banque Laurentienne, la Banque Nationale, Desjardins, la Banque de Montréal, CIBC, la Banque royale du Canada et la Banque Toronto-Dominion ont un poids carbone supérieur à deux fois celui de l’ensemble du Canada.
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« Même une industrie aussi puissante que le pétrole ou le gaz va devoir, à un moment donné, se tourner vers les réassureurs. Si juste une poignée de compagnies font ce virage, ça fait une grosse différence. »
Sur les 200 millions de tonnes de gaz à effet de serre (GES) calculées par l’équipe de Cambridge, 92 % ont été émises dans les quatre dernières années.
Aucune étude scientifique n’a annoncé la disparition de l’espèce humaine à cause du réchauffement climatique. Mais en plus des coûts financiers entraînés par la perte de biodiversité, les feux de forêt ou les événements météorologiques extrêmes, il y aura inévitablement des pertes de vie.
Le fait que la technologie remonte aux années 1970 est aussi un mauvais signal : après tout ce temps passé à la décrire comme une solution dans la lutte aux changements climatiques, elle devrait récolter de meilleures notes.
Il faut aussi se rappeler que certains de ces systèmes sont intereliés. Cela signifie que le fait de dépasser un seuil critique chez l’un accélère le dépassement d’un seuil critique chez l’autre.
Agir de la sorte, en taxant le CO2 plutôt qu’en utilisant un système de droits d’émission, est non seulement plus efficace sur le plan environnemental, écrivent les chercheurs, mais s’avère aussi être la méthode la plus efficace pour partager le fardeau de la lutte contre les changements climatiques.
Le gouvernement allemand a déjà annoncé qu’il n’étendra pas l’offre, qui lui aurait coûté environ 2 milliards et demi d’euros.
La Banque centrale de Norvège figure aussi dans la liste (8e place) à travers son Fonds souverain. Le gouvernement russe arrivait, en février 2021, en 13e place, au milieu de plusieurs autres banques et firmes d’investissement américaines.
Agir pour combattre les changements climatiques est important, affirment les chercheurs, mais les transformations technologiques peuvent avoir des conséquences positives comme négatives à travers l’économie, notamment en matière de salaires et d’emplois, des conditions de travail, des droits de la personne et de la qualité de vie.