Une étude internationale, en 2018, avait tenté d’évaluer l’immensité de la flotte maritime que cela nécessiterait, et avait discrètement ajouté qu’aucune étude approfondie n’avait été menée jusqu’ici sur les « effets qu’une telle alcanisation de l’eau aurait sur les écosystèmes marins ».
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Le calcul des émissions est devenu plus complexe au fil des années, parce que les observations par satellites sont évidemment plus difficiles à travers l’épaisse fumée.
Une étude publié en 2021, sous l’égide des Nations unies, a révélé que 34 % des émissions de CO2 provenaient du système alimentaire.
La question qui est posée chaque fois que ces idées sont mises sur la table depuis plus d’une décennie: est-ce que de « jouer » avec les systèmes atmosphériques ou océaniques pourrait avoir des conséquences qu’on ne mesure pas pour l’instant?
L’option la plus écologique reste le pelletage manuel. Et il est possible de restreindre davantage son impact carbone en pelletant avec un outil à neige en plastique recyclé.
L’augmentation des gaz à effet de serre se poursuivra pendant des années, malgré la place plus grande prise par les éoliennes et les panneaux solaires, et malgré les « économies » réalisées par le gaz naturel liquéfié.
Les causes de la hausse du CO2 et du protoxyde d’azote sont claires et bien étudiées depuis longtemps. Les causes de la hausse du méthane, par contre, le sont moins.
Afin de respecter l’objectif de réchauffement de 1,5 degré Celsius, tel que défini à Paris, il faut réduire les émissions polluantes de 45 % d’ici 2030. Comment faire? Les spécialistes onusiens évoquent la nécessité d’une transformation à grande échelle, rapide et systémique.
Les chercheurs ont également examiné les coûts de la pollution atmosphérique liée aux incendies; en fonction de divers critères, les dégâts provoqués uniquement par les GES, en Californie, atteignent environ 100 millions de dollars. Pour l’ensemble des États-Unis, on parle plutôt d’un moins moins d’un milliard. Et à l’échelle planétaire, c’est environ 7 milliards.
Chez les coureurs, l’option la plus « verte » serait de participer à des événements locaux et régionaux plutôt qu’internationaux, seule façon de réduire les émissions de GES attribuables aux déplacements.