Les chercheurs rapportent que leurs instruments observent cet été des lacs devenus des émetteurs nets de carbone. Année inhabituelle ou début d’une tendance irréversible?
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Les feux de forêt canadiens ont battu des records d’émissions de carbone, pour des feux de forêt. Mais leur contribution à l’augmentation globale de l’effet de serre ne représente qu’une infime fraction de la combustion des énergies fossiles.
En moyenne, les vaches faiblement émettrices produisaient environ 22 % de méthane en moins que les plus grandes émettrices, ce qui veut dire environ une centaine de kilogrammes de méthane par an, par vache, plutôt qu’environ 170.
Les chercheurs soutiennent que les limites du LionGlass n’ont pas encore été atteintes, puisqu’ils ont plutôt atteint le maximum de force permis par l’équipement utilisé pour leurs tests.
« Pour mettre les choses en perspectives, cela représente trois fois le budget européen pour le développement en Afrique, en date de 2021. Cette année-là, cette somme a atteint 6,8 milliards. »
Uniquement aux Bahamas, les services environnementaux fournis par les herbiers marins sont évalués à plus de 15 fois le PIB du pays, en date de 2020.
Si les résultats démontrent que les emprunteurs aux fortes émissions de GES et les banques sont les plus à risque, leur disparition pourrait grandement affecter le reste de l’économie et mettre à mal l’abordabilité au pays, puisque les compagnies tendent à transférer l’augmentation des coûts aux consommateurs, ce qui ferait croître les prix et saperait encore plus les finances des Canadiens.
Rien ne permet toutefois d’affirmer qui est derrière ces comptes. Dans un communiqué, un porte-parole de la COP28 s’est dissocié de ces efforts pour « discréditer la COP28 et le processus climatique ».
« La croissance de la population, le développement de la production alimentaire et une expansion des régimes alimentaires basées sur la viande devraient favoriser les émissions polluantes et taxer d’autant le budget carbone mondial. »
Une étude internationale, en 2018, avait tenté d’évaluer l’immensité de la flotte maritime que cela nécessiterait, et avait discrètement ajouté qu’aucune étude approfondie n’avait été menée jusqu’ici sur les « effets qu’une telle alcanisation de l’eau aurait sur les écosystèmes marins ».