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Selon une étude parue le 25 février, la multiplication par trois de la quantité de CO2 dans l’atmosphère — un scénario au-delà des scénarios actuellement les plus pessimistes — aurait pour conséquence de faire disparaître une catégorie de nuages, ce qui exposerait la Terre à davantage de rayonnement solaire, donc accroîtrait le réchauffement, lequel ferait disparaître d’autres nuages, et ainsi de suite.

S’il y a une chose qui rassemble la minorité climatosceptique et la majorité du reste de l’humanité, c’est une difficulté à appréhender la quantité de données que représentent les recherches accumulées depuis 40 ans sur le climat, l’atmosphère et les océans. À partir de combien de recherches, de combien de données, peut-on prétendre en avoir accumulé suffisamment pour pouvoir parler de certitude?

En lice pour le prix de la nomination la moins pertinente de l’année: un comité de la Maison-Blanche chargé d’analyser les craintes des militaires sur les risques des changements climatiques sera présidé par un homme qui croit que davantage de CO2 dans l’air est une bonne chose et qui a déjà comparé les climatologues aux nazis.

Les changements climatiques ne sont certainement pas la principale cause de la crise au Venezuela. Mais le climat pourrait porter le titre de « multiplicateur de menaces », selon le terme employé par plusieurs observateurs, incluant des agences américaines de défense et de sécurité.

Les impacts des changements climatiques ne sont pas toujours faciles à voir. Mais pour plusieurs petites entreprises installées dans des communautés côtières des États-Unis, les preuves sont tout juste de l’autre côté de leurs portes – ou dans leurs stationnements.

Cela augure mal pour l’Amazonie, quand le nouveau ministre brésilien de l’Environnement déclare ne pas connaître Chico Mendes qui, en plus d’être un défenseur mondialement connu de l’Amazonie et des droits des travailleurs, a donné son nom à un institut de recherche et de conservation… qui est sous l’égide du ministère de l’Environnement.

Il y a eu à présent, depuis 15 mois, trois alertes à la contamination de la laitue romaine par la bactérie E. coli sur le continent nord-américain. Chaque fois, la cause réelle de la contamination — pourquoi cette bactérie à cet endroit et à ce moment — est restée une énigme. Pourrait-il y avoir un point commun?

L’Arctique se réchauffe deux fois plus rapidement que le reste de la planète, ce qui provoque le dégel du pergélisol, gelé depuis des dizaines ou des centaines de milliers d’années, ainsi que le relâchement de méthane dans l’atmosphère, contribuant du même coup au réchauffement planétaire. Les conclusions d’une étude rassemblant entre autres des chercheurs de l’IIASA, l’Institut international pour l’analyse des systèmes appliqués, portent toutefois à croire qu’il est encore possible de neutraliser cette menace.

« Il fait plus froid que sur Mars! », ont martelé la semaine dernière plusieurs internautes, devant les températures glaciales qui frappaient une partie des États-Unis et du Canada. Les Martiens protesteraient, constate le Détecteur de rumeurs.