Pourquoi voudrait-on s’enfermer loin de tout pendant des années? Pour une mission sur Mars? À l’occasion de la sortie de son nouveau film, Viking, le réalisateur Stéphane Lafleur répond aux questions de Hugo Prévost et Kevin Laforest.
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Si vous aimez les romans graphiques misant davantage sur l’émotion et les personnages que l’action, vous apprécierez le Breakwater de Katriona Chapman dont le récit intimiste, à l’image de la vie, s’avère doux-amer.
Habituée aux rôles humoristiques, l’actrice Aubrey Plaza change ici largement de registre avec Emily the Criminal, un drame signé John Patton Ford dans lequel elle interprète une femme devant se tourner vers la criminalité pour tenter d’échapper à la pauvreté.
Sans être aussi bon que Sinister, The Black Phone est tout de même supérieur à la moyenne des long-métrages du genre.
Léger sans tomber dans la niaiserie, Confess, Fletch fait du bien, et permet de rappeler qu’il est tout à fait acceptable, voire même fortement encouragé, d’offrir un divertissement qui offre l’occasion, pendant 1h30 et des poussières, d’arrêter de s’inquiéter de tout ce qui brûle, autour de nous.
Ultimement, Spiderhead est un film ordinaire, sans grand éclat ni grande révélation. Un peu comme si tous les outils à sa disposition étaient en fait émoussés, ou avaient eu le temps de rouiller.
À travers la biographie d’un homme qui n’était heureux que sur scène et dont l’influence se fait encore sentir aujourd’hui, Elvis propose surtout un portrait d’une Amérique en pleine ébullition.
À l’occasion du 64e épisode de Rembobinage, Kevin Laforest présente ses coups de coeur et ses coups de gueule, notamment Niagara, Snow Angel, Les 12 travaux d’Imelda, et un aperçu du film Farador.
Un an après sa sortie, alors que la guerre fait rage sous une autre forme, en Ukraine, Tranchées est pratiquement prophétique.
Love and Thunder est un film qui ne révolutionnera pas le genre, peut-être, mais il s’agit d’un divertissement tout à fait solide. Et c’est exactement ce dont nous avions besoin.