Les auteurs du rapport évaluent que les émissions devraient être coupées de 54% en 2030 et de 72% en 2035. Ils reprochent aussi le fait que certains pays ont des cibles si basses qu’ils n’ont pas besoin de mettre en place de nouvelles politiques pour les atteindre.
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La motivation derrière cette recherche, comme derrière toutes celles qui ont tenté de calculer l’apport des incendies de forêts aux émissions de carbone, est d’atténuer cet impact.
« L’IA nous aide à identifier des tendances qui sont difficiles à détecter avec des méthodes traditionnelles. Il s’agit d’une étape importante vers la prévision de futures migrations, et ainsi fournir de meilleurs outils aux communautés vulnérables pour qu’elles puissent gérer les impacts de la crise climatique. »
On a ainsi découvert que la partie végétalisée de l’Antarctique est passée d’une surface totale d’environ un kilomètre carré, en 1986, à près de 12 kilomètres carrés en 2021.
Au cours de cette période, soit le milieu du siècle dernier, on a recensé les changements mondiaux et permanents les plus évidents. C’est à ce moment que des substances organiques polluantes ont commencé à être détectées à l’échelle mondiale, en plus de l’apparition des plastiques et microplastiques dans l’environnement.
De quelque façon qu’on fasse le calcul, il est certain que la société paie déjà en partie la facture des changements climatiques. Même si certains coûts indirects sont difficiles à évaluer pour le moment, les dépenses en cause sont vraisemblablement en train d’augmenter.
Les chercheurs, provenant de trois pays, se sont appuyés sur des estimations précédentes, selon lesquelles le 1% le plus riche de la population des États-Unis est responsable de plus d’émissions de GES que les 50% les plus pauvres. Or, d’après leur enquête, aux États-Unis, plus de la moitié de la population sous-estime cette empreinte carbone par un facteur de 10.
La quarantaine de chercheurs européens et nord-américains ont comparé, chez 10 500 personnes dans 27 pays, l’efficacité de deux messages: l’un, qu’ils qualifient de « classique », sur « la réalité des changements climatiques causés par l’humain » et l’autre, mettant l’accent sur le fait que les scientifiques s’entendent sur la gravité des événements.
Lorsque le courant-jet polaire de l’hémisphère nord glisse anormalement vers le sud, on assiste, dans des régions qui n’en ont pas l’habitude, à des températures anormalement froides en hiver —c’est ce qu’on s’est mis à appeler ces dernières années le vortex polaire.
Si plusieurs ont été surpris de voir surgir cette année, sur les réseaux sociaux, une association d’idées entre chemtrails et feux de forêt, cette association d’idées remonte en fait à près d’une décennie. Une confusion s’est installée entre la théorie de la géoingénierie et la réalité de la géoingénierie. Une autre confusion semble s’installer entre les mots géoingénierie et chemtrails.