Les gestionnaires qui décideront d’utiliser ces outils seraient bien avisés de se limiter aux « problèmes qui ont une solution claire », reposant sur les mathématiques.
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Il s’agirait d’un mécanisme par lequel le cerveau s’assure que l’animal ne commettra pas deux fois la même erreur.
Pour être exact, il ne s’agit pas à proprement parler d’une « nouvelle couleur », contrairement à ce que certains ont écrit, puisque celle-ci n’est qu’une longueur d’onde qui existait déjà.
Les personnes non mariées avaient également moins de risque de développer de l’Alzheimer, entre autres maladies. Les personnes divorcées et n’ayant jamais été mariées avaient aussi moins tendance à voir leur déclin cognitif léger se transformer en démence.
Les neurosciences ont établi depuis longtemps que le cerveau est suffisamment malléable — et c’est encore plus vrai chez les enfants — pour pouvoir créer de nouvelles connexions lorsque les circonstances l’imposent.
Se priver d’activités agréables n’a pas de réels effets sur le système de la dopamine, qui est un neurotransmetteur essentiel au bon fonctionnement du cerveau. Pour se débarrasser des comportements de dépendance, il est préférable d’éviter les incitatifs ou les stimulus qui y sont associés.
Bien des choses peuvent tromper notre perception du temps qui s’est écoulé: par exemple, des recherches ont déjà affirmé que le simple fait de voir un nom plusieurs fois — l’effet de répétition — créerait en nous l’illusion que nous avons rencontré cette personne plus récemment que ce qu’il en est vraiment.
La question de savoir si ces « mini-cerveaux » devront réellement être considérés un jour comme de vrais « mini-cerveaux » se posera peut-être, lorsqu’une croissance « spontanée » apparaîtra comme une possibilité.
Dans un tel scénario, il est certain que l’Homo sapiens n’aurait pas émergé. Nous devons notre existence au fait qu’un monde de mammifères a remplacé celui des reptiles, après la catastrophe cosmique.
Il va sans dire que c’est un aspect à explorer si l’on pense envoyer des astronautes vers Mars — dans un contexte où ils n’auront pas le loisir de revenir sur Terre, explique la chercheuse en comportement de la santé Sheena Dev, du Centre spatial Johnson de la NASA, qui a dirigé cette recherche.