« Toutes les plateformes possèdent des normes, et il n’y a aucun problème de liberté d’expression là-dedans. C’est le coût de faire des affaires dans plusieurs pays. »
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La liste noire et ses mécanismes d’application viennent ainsi accroître les risques pour les criminels potentiels. Et dans la foulée, les criminels sont moins portés à tenter de s’approprier des zones aux droits mal définis, ce qui réduit le nombre de conflits violents qui précèdent souvent les vols de terres. Et donc, écrivent les chercheurs, ce qui aide la nature aide aussi directement les individus.
De toutes les nations du G20, l’étude révèle que c’est le Brésil qui devrait avoir la meilleure empreinte environnementale d’ici 2050. Cela s’explique, dit-on, par une utilisation moins intensives des ressources, comparativement aux autres pays.
Les élus « s’appuient largement sur des politiques vertes dépassées qui n’entraînent pas vraiment de changements », affirme l’autrice d’une nouvelle étude.
« Le groupe du BRICS ne devrait pas devenir une construction économique et géopolitique solide, malgré toutes les briques que l’on peut tenter d’ajouter à l’édifice. »
« Les perceptions des consommateurs sont ambiguës. Ils font confiance à la réputation d’iFood, et croient que cela protègera leurs commandes, mais en même temps, ils ne considèrent pas que la marque est responsable de leur sécurité alimentaire. »
Les chercheurs. ne s’entendent pas sur ce que serait le point de bascule: les estimations varient entre 20 et 30 % de déforestation (on est actuellement à 17 %). Mais chose certaine, il ne faut pas attendre d’avoir coupé toute la forêt avant de voir le système se détériorer.
« Vous avez les deux blocs les plus riches du monde – les États-Unis et l’Europe – qui avancent chacun sur la transition vers les énergies propres », résume Jesse Jenkins au Washington Post.
Le groupe Survival International recense environ 300 « tribus indigènes » au Brésil, la plupart menacées ou harcelées par de la prospection minière ou des coupes forestières.
« En réduisant la surface de terres converties à l’agriculture industrielle, et en permettant aux forêts secondaires de repousser, nous pouvons effectuer d’importants gains en matière de restauration écologique en Amazonie. »