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Pour l’instant, c’est avant tout la technique qui intéresse les paléontologues: elle ouvre la porte à la possibilité d’identifier de l’ADN humain dans beaucoup d’autres objets, dont des outils de pierre, et peut-être même d’associer des traits culturels.

On commence désormais à avoir une idée des interactions entre ces gènes, une connaissance qui aurait été hors de portée des technologies d’il y a 20 ans — et plus général : une « architecture génétique » sous-jacente à ces cinq troubles pourrait être en train d’émerger de cette « cartographie ».

Il est difficile d’appliquer les estimations sur la température à l’ensemble des végétaux de la planète —les effets pourraient être très différents d’un écosystème à l’autre, et certains écosystèmes sont historiquement habitués à de plus grandes variations de température.

Au-delà des tracas qu’elle pose aux humains, cette masse organique en décomposition nuit aux autres espèces marines. Elle peut étouffer la mangrove, un écosystème de marais maritimes.

L’équipe de recherche espère que cette information à propos des moustiques Culex pourrait aussi servir pour contrôler les populations d’autres espèces de moustiques. À mesure que la crise climatique prend de l’ampleur, bien d’autres espèces de cet insecte, dont ceux qui transmettent la malaria, se déplacent vers l’hémisphère nord.

Quant à la technique employée chez les femelles, six ans après la première expérience, elle n’est toujours pas à la veille d’être tentée chez les humains, autant pour des raisons éthiques que de fiabilité.

Avec des caméras capables de prendre 30 images à la seconde, l’intelligence artificielle a pu identifier une myriade de comportements « brefs » (moins d’une demi-seconde chacun) chez 16 mâles et 26 femelles dans un espace clos, 20 minutes par jour pendant 15 jours.