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En filigrane, c’est la biologie humaine, bien plus que la biologie des primates, qui intéresse ceux qui vont plonger dans ces génomes, incluant l’étude de nos maladies causées ou aggravées par des mutations encore mal connues.

Aux interactions encore à découvrir avec la faune et la flore, il faudra ajouter celles avec le microbiome: certains microbes peuvent agir en symbiose avec les coraux, par exemple pour accélérer le cycle des nutriments ou pour protéger contre les maladies.

S’il s’agit bel et bien d’un comportement « transmis » — en d’autres termes, d’un épaulard qui en imite un autre— les hypothèses vont d’un premier épaulard qui, en 2020, aurait été pris dans un filet de pêche et aurait cherché à s’en libérer en attaquant le bateau, à un premier jeune épaulard…  qui aurait voulu jouer.

La particularité des goélands, c’est qu’ils ne se contentent pas d’aller fouiller dans les poubelles des humains: ils vont aller voler directement sur une table, ce qui est plus dangereux pour un animal, puisque ça le rend, pendant quelques secondes, vulnérable aux prédateurs.

Avec un seul animal, il est trop tôt pour tirer quelque conclusion sur la nature « normale » ou « exceptionnelle » de ce comportement. Mais les chercheurs intéressés par la diversité des intelligences animales ont une nouvelle raison de s’intéresser aux pieuvres…