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Au moins 2500 milliards de dollars pour un début de relance de l’économie mondiale, ainsi que des efforts concertés équivalents à au moins 10% du produit intérieur brut mondial (PIB): les Nations unies ont dévoilé mardi les premières étapes d’un plan d’aide pour vaincre la menace représentée par le coronavirus, mais surtout pour revenir à un semblant de normalité après la pandémie.

L’appel au calme lancé par le secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres, dans la foulée de l’assassinat du général iranien Qassem Soleimani, n’aura pas été entendu: le gouvernement iranien a annoncé dimanche qu’il ne se sentait plus lié par les dispositions de l’accord sur le nucléaire concernant le nombre maximal de centrifugeuses pouvant être utilisées dans le cadre de ses activités d’enrichissement d’uranium.

L’heure semble être au rapprochement entre l’Ukraine et la Russie, qui se livrent toujours une guerre par contumace, Kiev luttant encore, malgré une trêve fragile, contre des rebelles prorusses sur l’est de son territoire, alors que Moscou contrôle toujours la Crimée et équipe et finance sans doute les mêmes rebelles. Un échange de prisonniers, samedi, a toutefois été bien accueilli par la communauté internationale, y compris par les Nations unies.

Calmer les esprits alors que ceux-ci s’échauffent: le secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres, s’est dit inquiet, jeudi, à la suite de l’attaque présumée contre deux pétroliers dans le détroit d’Ormuz, un mois après que quatre autres navires chargés d’or noir eurent été endommagés dans la même région.

L’horreur au cours d’un « jour sacré pour les chrétiens du monde entier »: les multiples attentats terroristes commis dimanche contre trois églises et trois hôtels de luxe du Sri Lanka ont choqué la planète, y compris l’ONU, dont le secrétaire général Antonio Guterres s’est dit « outré » par ces attaques qui ont fait au moins 207 morts et des centaines de blessés.