La science-fiction avait créé l’habitude d’extraterrestres faciles à identifier. Mais la réalité risque plutôt de prendre la forme, dans un futur pas si lointain, d’interrogations sur des taux de méthane étranges, sur des fluctuations anormales dans l’infrarouge ou sur de la vapeur d’eau dans l’atmosphère.
Browsing: Science
À l’échelle mondiale, la croissance des canicules et des sécheresses risque d’entraîner, dans quelques décennies, une augmentation de 50% des mégafeux.
Un tel objet représente tout ce qui reste d’une étoile jadis plus grosse et qui, ayant épuisé son carburant, s’est effondrée sur elle-même. Dans la catégorie des objets hyper-massifs et hyper-denses, seuls les trous noirs surpassent les pulsars.
Il s’agirait de la première estimation du genre: les enfants sont souvent « statistiquement invisibles », explique l’UNICEF, parce que les bases de données sur les personnes déplacées sont rarement détaillées par groupe d’âge.
Estimer un petit nombre d’objets — par exemple, des fruits — peut s’avérer utile dans la nature, mais compter un grand nombre nécessite une forme de réflexion ou de pensée abstraite qui nous serait unique.
Le cerveau humain fonctionne comme un tout et non pas comme une addition de structures séparées. Aucun comportement n’est complètement contrôlé par l’instinct, les émotions ou la raison. De plus, tous les animaux partagent des structures cérébrales similaires, mais qui ont évolué de façons différentes.
Avec ces nuées de satellites vient un danger, celui des collisions mortelles dans l’espace. Un simple boulon tournant autour de la Terre à grande vitesse peut détruire un satellite… ou endommager la station spatiale internationale.
Le vert indique qu’il s’agit d’une plus grande production d’algues dans les eaux de surface ou près de la surface. Logiquement, le réchauffement des eaux est en cause puisque la chaleur stimule la production de chlorophylle.
Près de 41 % des espèces d’amphibiens sont menacées d’extinction, ce qui en fait la catégorie de vertébrés la plus à risque sur la planète.
Les chercheurs estiment que le trilobite n’était pas très regardant sur ce qu’il avalait. Il est même possible qu’il ait avalé indifféremment des bestioles mortes ou vivantes.