Microbes, galaxies lointaines, manipulations génétiques et origines de l’Homo sapiens : la nouvelle année promet déjà quelques cibles incontournables.
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La présence de nerfs et de tissus érectiles, susceptibles de gonfler avec l’afflux sanguin, suggère même qu’une sensation de plaisir soit possible lors de l’accouplement. Un autre aspect de la vie des serpents rarement abordé en biologie…
À la différence de la fission nucléaire, qui est la source d’énergie des centrales nucléaires, la fusion est restée depuis 60 ans le Saint-Graal de la physique.
Les pays ayant participé à la COP15 envisagent des engagements qui pourraient s’élever jusqu’à 700 milliards $ US, en réduisant de 500 milliards $ les subventions nuisibles et en investissant 200 milliards $ chaque année dans la conservation.
Les premières tentatives en cours ne sont toutefois pas entièrement privées : SpaceCell était soutenue en partie par des fonds publics, tout comme deux projets américains dont le lancement est prévu pour 2023, avec la NASA comme co-investisseur.
Mais avant d’espérer en arriver à l’humain — et c’est à supposer qu’on puisse même y arriver, le cerveau humain étant tout sauf statique— il faudra passer par un objectif plus « modeste », comme la souris.
« Si vous voulez construire quelque chose sur la Lune, plutôt que de dépenser de fortes sommes pour que des gens s’en occupent, vous pourriez avoir des systèmes robotisés qui impriment des matériaux, avant de confier le tout aux microbes pour transformer le tout en quelque chose d’important. »
On trouvait dans le nord du Groenland, il y a 2 millions d’années, des épinettes, des aubépines et différentes fleurs — en tout, une centaine d’espèces de plantes, ainsi qu’on s’y attendrait dans une forêt, ou « un écosystème ».
Encore faut-il s’assurer que les actuels statuts de zones protégées ou d’aires protégées remplissent bel et bien leur fonction.
Le même brouillon de l’entente de cette année, publié en juin dernier, fixait aussi comme objectif pour les humains de vivre « en harmonie » avec la nature en 2050, une cible encore plus vague.