Ce que ce journaliste cherche à dire, c’est qu’Amor, Monstra et Horrore Profundi est cool. Un surprenant mélange des genres, mais celui-ci fonctionne si bien que l’on passe fort aisément des sonorités industrielles au gothique, en passant par le métal et le darkwave.
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À la fois cours d’histoire, précis de théorie parlementaire, leçon d’architecture et réflexion sur l’importance des symboles politique dans la société, Les lieux de pouvoir au Québec est une série qui, si elle n’offre peut-être pas autant d’informations que la version écrite, possède un avantage indéniable: le pouvoir de l’image.
En aurait-on pris plus? Sans doute. La faute, probablement, au côté bref de bien des compositions du maître. L’orchestre, lui, a certainement été à la hauteur des attentes. Et on ne peut que se réjouir, devant la salle comble, de voir que la musique classique est toujours en mesure de rassembler les foules.
Suivra le néant n’est vraiment pas une histoire de maison hantée comme les autres. Si vous aimez les bandes dessinées atmosphériques misant avant tout sur le drame intérieur des personnages, vous tomberez sous le charme de cet album.
Après avoir lu 150 pages dont aucune n’avait donné envie de passer à la suivante, nous avons jeté l’éponge en me demandant tout de même s’il y aurait un punch avant la fin.
La situation est posée: le simple canard devra surmonter nombre d’épreuves pour obtenir le privilège de devenir un gracieux cygne.
Hugo et Chloé examinent comment ce film représente non seulement le « manuel » des ébats sexuels formatés, mais aussi un film féministe et progressiste.
Il n’y a rien de fondamentalement mauvais, dans Le Prince. Au contraire, l’oeuvre apporte une bonne dose de rigolade dans un contexte où tout semble aller terriblement mal. Mais au-delà du rire, au-delà des gags des fois franchement étranges, on se demande ce qu’il reste…
Exercice de style franchement intéressant, surtout pour les cinéphiles qui s’intéressent au monde des médias, mais aussi un rappel de la fragilité des relations internationales et de l’apparente impossibilité de parvenir à la paix, au Proche-Orient, September 5 vaut assurément la peine d’être vu.
Le réalisateur Walter Salles réussit à concentrer, au sein d’une poignée de gens, voire au sein d’une seule femme, toute l’horreur de la dictature qui a terrorisé le Brésil.