Browsing: Littérature

Réal Godbout et Laurent Chabin, respectivement dessinateur et romancier, font équipe pour donner naissance à une oeuvre sombre. Au programme: Quand je serai mort, une bande dessinée à l’odeur douce-amère à paraître bientôt aux éditions La Pastèque.

Bien qu’elle figure parmi les séries ayant la plus longue longévité de toute la bande dessinée franco-belge, Le Scrameustache ne semble pas près de s’essouffler, et il suffit de lire La Porte des deux mondes, le plus récent album mettant en vedette l’extraterrestre et sa bande, pour s’en convaincre.

Prenant place dans un avenir proche et peu reluisant et proposant un récit teinté d’urgence, la bande dessinée Femme sauvage de Tom Tirabosco nous entraîne dans le sillage d’une fin du monde à saveur écologique.

Connu comme l’un des meilleurs DJ de Belgique, Kid Noize ajoute une corde à son arc, en se faisant à la fois coscénariste et protagoniste de L’homme à la tête de singe, une bande dessinée explorant l’imaginaire éclaté de l’artiste.

Qualifié de « maître québécois du suspense », Martin Michaud fait de plus en plus parler de lui, et après sa série Victor Lessard, portée au petit écran, c’est au tour de son roman Sous la surface de connaître une adaptation, mais en bande dessinée cette fois-ci.

Se déroulant non pas dans un quelconque royaume médiéval fictif, mais à l’ombre de la seconde révolution industrielle dans la France des années 1900, la nouvelle série Aristophania de Xavier Dorison et Joël Parnotte injecte une saveur unique à sa fantasy.

Pour vendre des livres, il faut en faciliter l’achat: voilà ce qui ressort de la plus récente édition du rapport The Canadien Book Buyer, publié la semaine dernière par l’organisation Booknet Canada.

Il y a quelque chose d’étrange dans le roman Rouge est la nuit, premier opus d’une série policière écrite par Tetsuya Honda. Étrange, en effet, parce que ce thriller paru à l’Atelier akatombo offre quelques bases du roman policier occidental, certes, mais aussi parce qu’on y ajoute non seulement quelques aspects uniques à la culture japonaise, mais aussi parce que l’oeuvre surprend en dévoilant un récit bien plus horrible qu’on aurait pu l’imaginer.

À la différence de la peinture et du cinéma, la photographie se caractérise par l’instantanéité du cliché et son support fixe. Les 100 mots de la photographie de Pierre-Jean Amar l’aborde comme on prend une photo, un mot après l’autre. Le dispositif intégré à notre téléphone intelligent a d’abord été l’invention de la modernité participant au progrès social par l’image.