Proposition surprenante, mais peut-être sous une forme réservée à un public niché, The Feeling That the Time for Doing Something Has Passed est un film qui ose explorer un aspect peu ou pas abordé à l’écran: pas une existence terrible, pas une existence merveilleuse, mais une existence beige, dont il est souvent bien dur de s’extraire.
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J’ignore si c’est parce que les gens ont mal compris la satire derrière le concept ou si c’est l’utilisation du mot en « N » dans le titre qui a choqué certaines sensibilités, mais une chose est sûre : The American Society of Magical Negroes est bien meilleur que la maigre cote de 3 sur 10 que les cinéphiles lui ont donnée sur IMDB.
Divertissante, remplie d’action, avec quelques clichés, mais surtout avec suffisamment de suspense, le tout réalisé et tourné de fort efficace façon, House of Ninjas est idéale pour s’installer en bonne compagnie, pour déguster un repas ou un bon verre, et en ressortir satisfaits. À voir.
Inside Out 2 est donc un beau projet qui livre la marchandise, sans nécessairement la transcender, ce que le premier (oui, encore lui), faisait continuellement.
Hugo Prévost et Kevin Laforest se penchent sur le nouveau film de Richard Linklater mêlant action, comédie romantique et… réflexion sur l’identité et la personnalité.
Présentant les meilleurs films de braquage jamais réalisés dans la meilleure résolution qui soit, le coffret Ocean’s Trilogy est un must pour tous les amateurs de Steven Soderbergh, et les trois longs-métrages sont toujours aussi divertissants aujourd’hui qu’au moment de leur sortie initiale en 2001, 2004 et 2007.
Damaged a beaucoup d’ambition, cherche à évoquer Se7en sans y parvenir, avec un duo d’acteurs de renommée mondiale dont la présence est inutile. Déception, vous dites?
Hugo Prévost et Kevin Laforest visitent ce monde à mi-chemin entre la vie et la mort. L’exercice cinématographique en vaut-il la peine?
Bijou de style et d’inventivité, Godzilla Minus One est la preuve qu’il est possible de faire un grand, voire un très grand film, sans engloutir une fortune dans le procédé. Il suffit d’avoir de bonnes idées et de savoir les transposer sur grand écran.
On voudrait tant que les produits Star Wars, qu’il s’agisse de films, de séries télé, ou encore de jeux vidéo, fonctionnent. On voudrait revivre cette époque bénie où l’on a découvert les aventures de Luke Skywalker et de ses amis. Ou même approfondir un univers complexe en examinant les implications morales d’une guerre de guérilla (rebonjour, fantastique Andor). Mais on nous sert plutôt du réchauffé inintéressant, avec The Acolyte. Quel gâchis.