Même s’il est amusant et qu’il honore le film original comme il se doit, Beetlejuice Beetlejuice mise un peu trop sur la nostalgie, et au final, on ne peut que conclure que, malgré quelques bons moments, cette suite n’était ni vraiment nécessaire, ni indispensable.
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Cette montagne russe d’émotions et de flamboyance a cette qualité rare de bien nous divertir et de s’avoir comment s’y prendre, d’impressionner et, principalement durant les derniers instants de l’inévitable et bouleversante Defying Gravity, nous faire frissonner.
Maria est un film qui célèbre, qui enchante, lumineux au possible, continuellement soigné, visuellement riche et magnifique, musicalement ensorcelant, comme l’offre, sous forme d’un cadeau, d’une voix qu’on n’est pas prêt d’oublier.
Maldoror est donc fascinant. Pas toujours facile, parce qu’on y aborde des meurtres sordides, de la violence et de la pédophilie, mais on est sur le bout de notre siège tout du long. Avec un réalisme certain, en tentant de nous faire croire à cette histoire qui n’a pas eu lieu, du moins pas exactement comme ça, on sait comment capter notre attention et nous prendre à la gorge à mesure que le temps avance et que l’étau se resserre. De l’excellent cinéma qui devrait assurément nous hanter.
Un ours dans le Jura sera probablement une bonne entrée en matière pour ceux qui ne sont pas habitués à ce genre de comédies dites noires, habituellement désopilantes et éclatées. Pour les autres, on s’ennuiera un peu durant cette oeuvre frôlant inutilement les deux heures en repensant au potentiel jamais vraiment atteint et à tous les films semblables qui ont mieux réussi.
Complexe, fascinante, parfois effrayante et déprimante, Say Nothing est une télésérie particulièrement solide qui explore avec brio cette période historique méconnue. À voir, sans qu’aucun doute ne soit possible.
Je ne me laisserai plus faire pourrait, de prime abord, avoir des airs de film mineur. Sauf que face à tout le talent réuni, il est un peu du calibre des téléfilms de HBO, par exemple, qui rivalisent souvent avec plusieurs des grosses productions qui n’ont pas été réservées au petit écran. Avec un sujet chaud et des interprètes aussi dévoués que son créateur, impossible de s’ennuyer avec ce film fou regroupant des humains tout aussi déjantés.
En fanfare est un beau film avec beaucoup de qualités. Il ne transcende rien, mais s’écoute avec un bien fou et sait toucher ses spectateurs, comme en font part tous les prix du public qu’il s’accumule de festival en festival depuis sa présentation à Cannes, en mai dernier.
Hugo Prévost et Kevin Laforest discutent du plus récent film du scénariste et réalisateur Steve McQueen.
Hugo Prévost et Chloé Baril explorent cette oeuvre coup-de-poing qui a fait courir les foules au festival Cinémania.