Auteur/autrice : Jim Chartrand

Jim Chartrand est bachelier de l'Université de Montréal en Études cinématographiques. Il gère également un département Superclub d'une succursale Vidéotron. Et il adore la culture avec le plus grand C que vous pouvez imaginer. En fait, s'il n'avait pas autant de fatigue de sa sage vie remplie, il consommerait encore davantage de ces nombreuses drogues de l'art et du divertissement pour mieux vous en parler. Puisque avouons-le, rien ne lui fait plus plaisir que de conseiller et guider les autres, même si ses avis ne font pas toujours l'unanimité. Il se fait donc un plaisir semaine après semaine de vous offrir des textes sur tous plein de sujets qui le passionnent entre un peu, beaucoup, passionnément, à la folie, et...

A Quiet Place: Day One divague entre ses prédécesseurs, plusieurs oeuvres de référence comme The Mist et le brillant Cloverfield (toujours inégalé), parmi d’autres films de catastrophe et de survie, tout en ne pouvant s’empêcher de nous faire revivre le cauchemar du 11 septembre, New York oblige.

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The Bikeriders n’en demeure pas moins une œuvre soignée, forte et qui hypnotise à ses heures. Menée par un cinéaste plus que talentueux, lui-même épaulé par une armada de personnes au talent tout autant recommandable. Un nouveau classique? Peut-être pas. Mais une œuvre de grande qualité qui mérite certainement qu’on s’y attarde, ce qui n’est pas toujours donné, de nos jours.

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Daaaaaalí! confirme donc que Quentin Dupieux est un cinéaste fascinant à la filmographie aussi riche que variée. Doté d’un style distinct, en s’interrogeant continuellement sur la notion de rêve et de réalité, il se permet quand même d’explorer en repoussant constamment les possibles et ses propres limites, et osant cette fois s’attaquer plus que jamais à l’insaisissable.

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Il est donc indéniable que The Fall Guy est un blockbuster bonbon. Il y a tout ce qu’on peut aimer, tout comme assez de volonté pour titiller notre intérêt.  Il est peut-être par contre temps de considérer le fait que Leitch n’a pas l’étoffe nécessaire pour entièrement mettre en scène toutes ses idées et leur donner un style, mais surtout un rythme qui mériterait entièrement notre attention.

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Abigail demeure donc compétent. Divertissant, aussi. Sauf qu’il ne faut pas trop en demander, il faut baisser les attentes (si celles-ci existent) et il faut considérer qu’au moment où chaque revirement a lieu, on risque rapidement de les oublier. Un no-brainer comme on dit, finalement, ce qui, quand on veut se changer les idées, n’est quand même pas trop de refus.

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