Pour les passionnés du genre, ce titre est l’un de ceux que l’on maîtrise lentement, très lentement, en y consacrant des heures. On apprendra rapidement à apprécier cet aspect survivaliste, avec une tension toujours bien présente. Bref, Zero Sievert n’est certainement pas à mettre en toutes les mains, mais pour ceux et celles qui ne sont pas rebutés par un défi à la hauteur de leurs attentes, et qui aiment bien souffrir, c’est le jeu idéal. Après tout, ne sommes-nous pas en plein chaos mondial?
Auteur/autrice : Hugo Prévost
Belle, triste, particulièrement bien jouée, le tout dans un espace scénique utilisé à son plein potentiel, Iphigénie est la preuve, hors de tout doute, qu’il est encore possible de raconter des mythes fondateurs en adoptant une approche contemporaine, sans rien enlever à la pertinence de l’oeuvre originale.
Complexe, fascinante, parfois effrayante et déprimante, Say Nothing est une télésérie particulièrement solide qui explore avec brio cette période historique méconnue. À voir, sans qu’aucun doute ne soit possible.
Hugo Prévost et Kevin Laforest discutent du plus récent film du scénariste et réalisateur Steve McQueen.
Hugo Prévost et Chloé Baril explorent cette oeuvre coup-de-poing qui a fait courir les foules au festival Cinémania.
Au moment où tout semble s’effriter, où nos existences défilent à un rythme infernal, où nos espoirs d’un monde meilleur sont régulièrement balayés sous le tapis par des gens dont la vie ne semble que s’articuler autour de l’idée de l’accumulation de richesse, de l’amalgamation du pouvoir et de l’imposition de la cruauté pour le simple plaisir de la chose, Vénérables nous rappelle qu’il y a bel et bien quelque chose à aller chercher, au bout du chemin: une certaine sérénité, si tant est que cela soit possible.
« Tout ce qui est vol de propriété intellectuelle, c’est-à-dire de l’espionnage, c’est quelque chose auquel les entreprises canadiennes, entre autres, doivent faire extrêmement attention. »
Puissante, chavirante, confrontante, Un navire délicat est une pièce importante, un questionnement nécessaire sur la nature des sentiments, sur l’affrontement perpétuel entre la passion et la raison. Du très bon théâtre.
La prémisse semblait bien intéressante, mais Stockholm Bloodbath semble incapable de se brancher; il en résulte un film brouillon, parfois mal exécuté, au rythme particulièrement inégal. C’est bien dommage!
Entre crise de confiance de la part du public, méconnaissance des rôles des différents acteurs du milieu, surdose d’informations et nécessité de réagir rapidement, la chroniqueuse et analyste dit s’efforcer de de prendre un pas de recul pour apporter un point de vue nuancé et approfondi.