Le célèbre faon reprend vie sous la forme d’un film animalier tourné avec de vrais animaux, dans une vraie forêt.
Auteur/autrice : Hugo Prévost
Pour l’instant, la proportion d’Américains jugeant qu’il est « trop risqué » de relâcher le cadre réglementaire présidentiel est similaire à celle qui prévalait lors du premier mandat de Donald Trump. Cette fois, cependant, le chef d’État semble décidé à agir rapidement et selon son bon vouloir, contre-pouvoirs ou non.
Voilà donc l’intérêt principal de Border Pioneer: devoir gérer le chaos et tenter de prévoir ses besoins à l’avance, en manoeuvrant au mieux de ses connaissances – qui seront forcément fortement limitées. La chose pourrait s’avérer quelque peu frustrante pour les amateurs de stratégie lente et minutieuse, mais on y trouve aussi une satisfaction libératrice. À découvrir.
Bref, Sirens of the Deep est un film correct, tout au plus. Nous sommes bien loin de Nightmare of the Wolf, sorti en 2021. Les amateurs de cet univers y trouveront peut-être leur compte, mais nous étions franchement en droit de nous attendre à mieux.
Cette fois, l’enthousiasme est plus que marqué: ce sont près de 11 000 billets qui ont été vendus, le 12 février 2025, « soit plus du double de la moyenne quotidienne du moisk de février ».
Sans trop vendre la mèche ni sans trop donner de détails à propos des divers rebondissements scénaristiques, Rendez-vous avec Rama prouve aisément qu’il mérite sa place dans le panthéon de la science-fiction littéraire. Précurseur, dantesque, particulièrement influent, ce roman, étrangement court, est une lecture essentielle.
La réalisatrice Jenny Cartwright lance un pavé dans la mare avec un film engagé qui cherche à ébranler les colonnes du temple de notre système politique.
Ce que ce journaliste cherche à dire, c’est qu’Amor, Monstra et Horrore Profundi est cool. Un surprenant mélange des genres, mais celui-ci fonctionne si bien que l’on passe fort aisément des sonorités industrielles au gothique, en passant par le métal et le darkwave.
À la fois cours d’histoire, précis de théorie parlementaire, leçon d’architecture et réflexion sur l’importance des symboles politique dans la société, Les lieux de pouvoir au Québec est une série qui, si elle n’offre peut-être pas autant d’informations que la version écrite, possède un avantage indéniable: le pouvoir de l’image.
En aurait-on pris plus? Sans doute. La faute, probablement, au côté bref de bien des compositions du maître. L’orchestre, lui, a certainement été à la hauteur des attentes. Et on ne peut que se réjouir, devant la salle comble, de voir que la musique classique est toujours en mesure de rassembler les foules.