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    Accueil»Technologie»Jeux vidéo»War Thunder, la guerre contre les autres… et contre les microtransactions
    L'une des affiches du jeu

    War Thunder, la guerre contre les autres… et contre les microtransactions

    0
    Par Hugo Prévost le 6 septembre 2022 Jeux vidéo

    Lorsque l’on tient un bon filon, il ne faut certainement pas lâcher le morceau : cela, les gens de Gaijin Entertainment, une compagnie russo-hongroise, l’ont bien compris avec War Thunder, un jeu aussi excitant que frustrant.

    Lancé en 2012, mais entretenu et amélioré depuis, War Thunder offre aux amateurs de combats armés la possibilité d’embarquer qui dans un char d’assaut, qui dans un cockpit d’avion de chasse, ou encore qui dans la cabine de pilotage d’un navire de guerre pour affronter un groupe d’ennemis pour le contrôle de divers champs de bataille. Avec, à la clé, l’accumulation de points de recherche et de deniers, qui serviront tous deux à d’abord faire progresser les spécifications techniques des engins, puis à les acheter et à y installer un équipage pour ensuite se lancer à l’attaque, aux commandes d’une machine plus performante et mortelle.

    Sur papier, l’idée est plus qu’intéressante : qui n’a jamais voulu commander un char allemand de la Deuxième Guerre mondiale, un T-34 soviétique, ou encore des avions à réaction des années 90? Qui n’a jamais voulu contrôler un Abrams américain, ou même un cuirassé japonais? Avec des dizaines et des dizaines d’options à sa portée, le joueur en a certainement pour son argent. D’autant plus que le jeu est gratuit.

    Autre avantage : les environnements sont riches et détaillés, surtout si l’on installe les textures haute définition, ce qui fera passer la taille de l’installation à un spectaculaire 93 gigaoctets d’espace sur notre disque dur. Qu’à cela ne tienne, la ferveur des combats et la jubilation ressentie au moment de la destruction de son adversaire valent amplement le temps de téléchargement.

    Non, les aspects agaçants sont ailleurs. D’abord, en fait, dans l’interface utilisateur, véritable chaos parfois incompréhensible qui bombarde l’utilisateur d’informations, qu’il s’agisse des technologies à rechercher, des événements spéciaux à venir, ou encore du nombre de « dollars », spéciaux ou non, qui se trouvent dans nos coffres.

    Et c’est à ce moment de la critique qu’il est inévitablement nécessaire de parler de microtransactions. Car qui dit jeu gratuit, dit bien souvent incitatifs, lourdement mis de l’avant ou non, pour que le joueur délie les cordons de la bourse, et achète de quoi progresser, voire se procure carrément des engins de guerre plus rutilants, plus efficaces, et surtout plus modernes.

    Car on aura beau vouloir foncer dans le tas avec un T-72 soviétique, ou encore un char Leopard allemand, à moins d’engloutir plusieurs dizaines, voire plusieurs centaines de dollars, il faudra jouer à War Thunder pendant des heures aux commandes de vieux chars légers des années 30, ou encore aux commandes d’un biplan, avant d’espérer piloter des engins relativement modernes.

    Et les développeurs ont bien compris comment maximiser l’interactivité et s’assurer que les joueurs reviennent encore et encore sur les champs de bataille : pour se procurer un char plus moderne que notre engin de départ, par exemple, il faudra rechercher bon nombre de technologies dudit char de base, ce qui implique plusieurs combats. Il faudra aussi, bien souvent, acheter un certain nombre de chars de la catégorie précédente avant de pouvoir mettre la main sur un char d’une catégorie plus récente ou plus puissante. Ce qui, là encore, signifie combattre, souvent pendant des heures au total.

    Parlons-en, d’ailleurs, de ces combats : si War Thunder se targue d’être relativement réaliste, même dans les affrontements de type « arcade », avec des dégâts pouvant spécifiquement toucher les chenilles des chars ou encore une partie seulement des avions de chasse, il peut devenir particulièrement frustrant d’être immédiatement éliminé, en tout début de partie, par un tir venu d’on ne sait où, qui franchira une longue distance, et qui viendra faire éclater notre réserve de munitions, ou encore un obus qui immobilisera notre véhicule suffisamment longtemps pour que celui-ci serve de cible dans un exercice de tirs aux pigeons en version géante, avec des boîtes en métal ambulantes en remplacement des volatiles.

    Oui, War Thunder nécessite de la prudence et du doigté, mais on a aussi l’impression que certains joueurs, particulièrement expérimentés, connaissent déjà toutes les façons de tirer profit des divers aspects du jeu. Un peu comme si l’on débarquait soudainement dans le mode multijoueur d’un titre de la série Call of Duty, par exemple, plusieurs années après son lancement. On n’y trouverait, sans doute, que des joueurs expérimentés qui auraient tôt fait de rendre notre existence infernale.

    Ce n’est pas que War Thunder soit fondamentalement mauvais. Mais en forçant les joueurs à consacrer de très nombreuses heures à un jeu souvent frustrant, histoire d’accumuler les quelques piécettes dispensées à ceux qui ne veulent pas payer des dizaines de dollars pour progresser, cela crée un entonnoir si étroit qu’on finit par perdre tout intérêt… sans jamais avoir pu commander l’engin militaire de ses rêves.

    War Thunder

    Développeur et éditeur : Gaijin Entertainment

    Plateformes : Windows, Xbox One, PlayStation 4, macOS (testé sur Windows)

    Jeu disponible en français

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    Hugo Prévost
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    Cofondateur et rédacteur en chef de Pieuvre.ca, Hugo Prévost se passionne pour le journalisme depuis l'enfance. S'il s'intéresse surtout à la politique, à la science, à la technologie et à la culture, Hugo n'hésite pas non plus à plonger tête première dans les enjeux de société, l'économie ou encore les loisirs et le tourisme.

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