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    Image tirée du film

    Jurassic World Dominion : je suis pas mal sûr de t’avoir déjà vu quelque part

    0
    Par Jim Chartrand le 9 juin 2022 Cinéma / Télévision

    Ils sont de retour pour vous jouer de vilains tours. Les méchants? Les créatures? Les héros? Les nouveaux? Les originaux? Tous! Car il n’y a pas de limites pour faire fructifier les revenus d’une franchise! Attachez votre ceinture parce qu’avec la logique à nouveau mise de côté, Jurassic World Dominion veut en mettre plein la vue, coûte que coûte!

    Les dinosaures fascinent depuis toujours. Un fait indiscutable. Ce qui en découle? Trop rarement, malheureusement. Que ce soit les tentatives de Disney avec le déjà oublié Dinosaur ou avec Pixar et le trop simpliste The Good Dinosaur, en passant par tous les films de la franchise de Jurassic Park, devenue Jurassic World pour la nouvelle génération, qui n’ont jamais réussi à ramener l’essence du classique de Spielberg.

    Malgré toutes ses bonnes promesses, ce Dominion n’y fait pas exception et on s’amuse continuellement à nous décevoir et à briser nos espoirs et nos illusions, à l’exception près du facteur nostalgique et de l’enthousiasme évident de la distribution qui sauve la mise à plus d’un moment.

    Moins axé sur une feuille de route pour satisfaire et reconquérir les fans qu’un certain Ghostbusters : Afterlife, qui se devait de rallier le public après le mal-aimés épisode de Paul Feig, ce nouvel opus qui semble vouloir clore la seconde trilogie de la franchise (pas de scène cachée, cette fois-ci) a de la misère à trouver son essence. Au moins, si plusieurs clins d’œil sont évidents, on ne s’efforce pas de nous en enfoncer tant que ça au fond de la gorge, non plus.

    Certes, on essaie d’oublier les suites maudites (même celle de Spielberg) et on se concentre sur les éléments faciles, alors qu’il n’y a que le trio d’origine (et BD Wong évidemment) qui revient au-delà de tous les personnages marquants, ou presque, des derniers épisodes. Et pas question d’un cameo idiot, cette fois, alors qu’on leur donne un vrai rôle en chair et en os et des répliques, permettant à Jeff Goldlbum d’être pour notre plus grand bonheur égal à lui-même. Bien dosés, Laura Dern et Sam Neill n’en font pas des tonnes, car il semble surtout heureux d’avoir été invités de nouveau.

    Pour le reste, la saga s’enfonce dans ses mauvais plis habituels. Oui, on se concentre encore trop sur les humains, oui on donne trop d’intérêt aux complots sans importance et oui les idioties s’empilent par millier. Au moins, dans cette interminable durée de deux heures trente (le préambule est assez long et tarde à susciter de l’intérêt, surtout que notre attachement aux nouveaux personnages est toujours aussi moindre, encore plus en réalisant qu’on est plus intéressé par DeWanda Wise que tous les autres), on s’amuse à en donner pour son argent et on cumule plusieurs scènes d’action sommes toutes trépidantes en ne manquant pas de montrer beaucoup, beaucoup de dinosaures (même si disons que les effets spéciaux laissent par moment à désirer).

    Il y a plusieurs moments de tension bien ficelés et un atterrissage forcé filmé de manière ambitieuse qui laisse le temps d’un instant croire qu’il y a un peu de cinéma dans tout cela, alors que Trevorrow semble un peu plus à l’aise avec tout ce chaos que lors de son premier tour de piste.

    Néanmoins, la franchise n’arrive malheureusement pas à se lancer en totalité dans nos rêves les plus fous et ceux qui souhaitaient admirer les résultats d’une cohabitation des espèces seront certainement déçu, puisque bien que le parc jurassique ne soit plus de la partie, on trouve une autre façon de concentrer l’histoire presque entièrement dans un seul lieu, une escale James Bond-esque en Europe en extra.

    Fidèle dans sa tradition de suivre les traces de John Williams, Michael Giacchino continue de reprendre le flambeau de la trame sonore avec plus ou moins d’inspiration, sans pour autant rien offrir de transcendant.

    Jurassic World Dominion en offre alors beaucoup. Beaucoup trop pour certain, beaucoup trop peu pour d’autres. Oui, c’est un foutoir, mais qui s’amuse de faire la job sans nécessairement se prendre trop au sérieux et en semblant savoir exactement ce qu’il est. Le film ne prétend pas réinventer quoi que ce soit et il sait qu’il existe seulement pour divertir et ramener les spectateurs. On s’en trouvera à la fois lassé et amusé, principalement dans cette troisième partie qui trouve un peu de concision, mais en rien on en sortira chamboulé, cela dit.

    5/10

    Jurassic World Dominion prend l’affiche ce vendredi en salle. Plusieurs représentations ont lieu ce jeudi.

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    Jim Chartrand
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    Jim Chartrand est bachelier de l'Université de Montréal en Études cinématographiques. Il gère également un département Superclub d'une succursale Vidéotron. Et il adore la culture avec le plus grand C que vous pouvez imaginer. En fait, s'il n'avait pas autant de fatigue de sa sage vie remplie, il consommerait encore davantage de ces nombreuses drogues de l'art et du divertissement pour mieux vous en parler. Puisque avouons-le, rien ne lui fait plus plaisir que de conseiller et guider les autres, même si ses avis ne font pas toujours l'unanimité. Il se fait donc un plaisir semaine après semaine de vous offrir des textes sur tous plein de sujets qui le passionnent entre un peu, beaucoup, passionnément, à la folie, et...

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