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    Accueil»Société»Santé»COVID-19: le masque a un impact, mais pas tout seul
    Le masque est efficace pour se protéger de la COVID-19, mais seulement s'il est employé en plus d'autres mesures sanitaires.

    COVID-19: le masque a un impact, mais pas tout seul

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    Par Agence Science-Presse le 24 janvier 2021 Santé

    S’il ne fait pas de doute que le port du masque a un impact contre la COVID-19, il reste difficile de mesurer cet impact avec précision. Mais l’extrême variété des situations aux États-Unis tend à conclure que les régions où le port du masque est au plus haut, sont aussi celles où le taux de reproduction du virus est au plus bas.

    Avec une nuance: c’est encore mieux avec des mesures de distanciation sociale.

    La difficulté à mesurer cet impact depuis l’an dernier vient du fait que dans la plupart des pays, l’obligation de porter le masque est généralement venue en même temps que d’autres mesures — distanciation sociale et semi-confinement en particulier.

    Mais le pays de Trump a offert tout au long de l’année 2020 une grande diversité de politiques —des États les plus permissifs devant la propagation du coronavirus jusqu’aux plus prudents. Ce pays a aussi offert une grande diversité quant au taux de propagation du virus: des comtés où celui-ci s’est soudain répandu comme un feu de paille, jusqu’à ceux qui ont été relativement épargnés jusqu’à l’automne.

    Une équipe américaine de chercheurs en épidémiologie et en statistiques a donc vu dans cette variété une opportunité. Et sa conclusion est « une corrélation significative » entre, d’un côté, le pourcentage de gens qui rapportent porter le masque et de l’autre, le taux de transmission communautaire du virus. Autrement dit, « la plus haute probabilité » de réussir à contrôler la transmission communautaire peut être prédite là où on retrouve « le plus grand nombre de gens qui portent un masque et maintiennent une distanciation sociale ».

    En tout, plus de 375 000 personnes ont répondu à un sondage en ligne sur leur port du masque en juin et juillet 2020. L’étude est parue le 19 janvier dans The Lancet Digital Health.

    Dans une analyse accompagnant l’étude, deux chercheurs en santé publique de l’Université nationale de Singapour écrivent qu’il s’agit probablement là du type d’analyse des données la plus avancée qu’on puisse trouver sur le sujet, et de nature à inspirer d’autres chercheurs dans d’autres pays. « Des études observationnelles bien menées fournissent probablement les données les plus solides pour appuyer des politiques. »

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