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    La Trilogie des ombres.

    Littérature – Une affaire non classée

    1
    Par Martin Prévost le 20 août 2018 Littérature

    Le troisième tome de la Trilogie des ombres, d’Arnaldur Indridason, publié chez Métailié, s’intitule Passage des ombres et met à nouveau en scène l’inspecteur Flovent et le policier militaire Thorson, un Islandais né au Manitoba.

    Tout comme dans le tome un, le récit s’étale sur plus d’une époque et nous voyons intervenir un nouveau personnage, Konrad, policier à la retraite enquêtant sur le meurtre de Thorson, qui, peu de temps avant sa mort semblait avoir repris une enquête qui n’avait pas abouti en son temps.

    Dans son style économe, Indridason ramène à l’avant-plan toute la question de la « situation » qui prévalait lors des occupations militaires dans son pays durant la Deuxième Guerre mondiale, c’est-à-dire les relations entre les soldats et les jeunes Islandaises.

    Dans un contexte où la modernité le dispute à la tradition, l’enquête sur le meurtre d’une jeune couturière fera porter les soupçons d’abord sur un militaire, puis sur un étudiant du cru et aussi sur des personnages influents qui auraient eu les moyens d’étouffer l’affaire.

    Si dans le tome un, Dans l’ombre, le lecteur était instruit avec finesse sur la géographie, le climat et les paysages de l’Islande du milieu du 20e siècle, dans celui-ci, on le renseigne sur les croyances populaires encore bien tenaces à la même époque, qu’il s’agisse des palais invisibles sous les rochers ou même des elfes, qu’on accusait de tout et de rien.

    Le récit se déroule sans trop de surprise et les enquêtes parallèles peinent à aboutir, faute de témoins et d’indices solides. Les descriptions des interrogatoires de Flovent et Thorson sont peu imaginatives et donnent lieu à quelques redites. Il s’agit certainement davantage d’un roman noir, un roman de l’ombre, que d’un suspense. Cela n’empêche pas qu’on a envie de se rendre à la fin de cette lecture, ne serait-ce que pour savoir ce qu’il arrivera de l’âme des protagonistes. Car c’est probablement cela qui définit le mieux Arnaldur Indridason: un écrivain de l’âme.


    Un long périple, une longue lecture avec Jean Brodeur

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    Martin Prévost
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    Martin Prévost fréquente la scène culturelle montréalaise depuis plus de trente ans. À titre de chroniqueur culturel, il a collaboré au magazine Paraquad durant deux ans et il est un fidèle de Pieuvre.ca depuis ses débuts. Ses intérêts vont du design à la danse contemporaine en passant par les arts du cirque, la musique du monde, la littérature, le théâtre, les arts visuels et le cinéma. Musicien amateur, il consacre la plupart de ses interventions pour Pieuvre.ca à la musique classique, de la musique de chambre à l’opéra.

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    1. Pingback: Les fils de la poussière, un vrai roman noir

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