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    Accueil»Culturel»Musique»Pinewood Smile: quand The Darkness s’amuse
    La formation british présente son cinquième album

    Pinewood Smile: quand The Darkness s’amuse

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    Par Hugo Prévost le 12 octobre 2017 Musique

    The Darkness n’est pas mort! La formation britannique a beau en être à son cinquième album, il est toujours bon de rappeler que le groupe responsable de l’excellente I Believe in a Thing Called Love a effectué son grand retour il y a déjà plusieurs années, après des problèmes de drogue et l’éclatement temporaire du band. Voilà donc Pinewood Smile, un nouvel opus dans lequel les hérauts du glam rock s’en donnent à coeur joie.

    Il fallait les voir, ces types un peu efflanqués, cheveux au vent, parodier allègrement les simagrées des groupes des années 1970 et 1980, et plus particulièrement AC/DC, lors de la sortie du premier extrait, Solid Gold. Nonobstant le clin d’oeil, cette pièce était d’ailleurs à l’image de The Darkness: rapide, efficace, pas trop compliquée.

    On pourrait ergoter – avec raison – que les trois extraits lancés avant la sortie du disque, Solid Gold, bien entendu, mais aussi All The Pretty Girls et Southern Trains, sont tous un peu trop « légers » pour attirer les foules, et que cela donnait peut-être une mauvaise image de l’album.

    S’il est vrai que ces trois pièces sont moins intéressantes que d’autres – que la superbe Japanese Prisoner of Love, par exemple -, il ne faut pas non plus oublier que The Darkness a toujours été un groupe léger, presque humoristique. Quelqu’un a-t-il oublié la pieuvre géante d’I Believe in a Thing Called Love? Le monstre poilu qui essuie un chanteur complètement nu? Ou encore la moustache à la d’Artagnan des dernières années? Les costumes une pièce moulants couleur or?

    La pochette de l’album

    Le groupe s’est-il tiré dans le pied en entamant sa carrière à l’international en utilisant à cette fin son plus gros hit en carrière? Certes, il était nécessaire de frapper (très) fort pour faire sa marque, mais on a la triste impression que le groupe est en mode rattrapage depuis. Pas que les albums suivant Permission to Land ne soient pas bons, bien au contraire, mais on n’a pas encore tout à fait retrouvé cette atmosphère complètement folle du tout premier extrait international, celui qui a propulsé le groupe dans la stratosphère musicale.

    Il n’en reste pas moins que The Darkness offre, avec ce Pinewood Smile, un disque de fort belle facture. On regrettera peut-être un drôle d’arrangement des pièces. Comme cette idée de nous jeter à la tête Japanese Prisoner of Love, remplie de riffs acérés et de fols accords de guitare, puis de nous laisser un peu sur notre faim avec la balade suivant tout de suite après, Lay Down With Me, Barbara.

    Mais bon, une fois la poussière retombée, le mélomane devra se rendre à l’évidence: si I Believe in a Thing Called Love demeure la meilleure pièce individuelle du groupe, Pinewood Smile est certainement un meilleur album que Permission to Land. Voilà, c’est dit. Plus de variations, plus de folie, plus d’audace… On aime et on en redemande.

    En terminant, il est plus que recommandé de se procurer la version intégrale du disque; la toute dernière pièce, Rock In Space, est un petit bijou de plaisir musical sans compromis. Des robots, des lasers, de la guitare déchaînée… que demander de plus?

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    Cofondateur et rédacteur en chef de Pieuvre.ca, Hugo Prévost se passionne pour le journalisme depuis l'enfance. S'il s'intéresse surtout à la politique, à la science, à la technologie et à la culture, Hugo n'hésite pas non plus à plonger tête première dans les enjeux de société, l'économie ou encore les loisirs et le tourisme.

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