Pieuvre.ca
    Facebook Twitter Instagram
    Pieuvre.ca
    0 Shopping Cart
    • Accueil
      • Notre équipe
      • La réplique
      • Annoncez sur Pieuvre.ca / Advertise at Pieuvre.ca
      • Votre semaine tentaculaire
      • Contactez-nous
    • Culturel
      • Arts visuels
      • Cinéma / Télévision
      • Danse
      • Littérature
        • Romans
        • Essais
        • Bandes dessinées
        • Beaux livres
        • Poésie
      • Musique
      • Théâtre / Cirque
      • Festivals
        • Cinémania
        • Fantasia
        • FIFA
        • FNC
        • FTA
        • OFFTA
        • Montréal complètement cirque
        • Mutek
        • RIDM
        • RVQC
        • Vues d’Afrique
        • Zoofest
    • Politique / Économie
      • Politique
      • Économie
      • Afrique
      • Amériques
        • Élections fédérales 2021
        • Maison-Blanche 2020
        • Élections fédérales 2019
      • Asie
      • Europe
        • Présidentielle française 2022
      • Moyen-Orient
    • Science
      • Science
      • Environnement
    • Société
      • Société
      • Médias
      • Santé
      • Vie tentaculaire
      • Jeux de société
      • 45 ans du Stade olympique
    • Techno / Jeux
      • Technologie
        • Séance de test
      • Jeux vidéo
        • Rétroctopode
        • Jeux préférés de…
    • Podcasts
      • Entretiens journalistiques
      • Rembobinage
      • SVGA
      • Pixels et préjugés
      • Heure supplémentaire
    • Boutique
    Pieuvre.ca
    Accueil»Culturel»Arts visuels»Soirée canadienne au MAC

    Soirée canadienne au MAC

    0
    Par Pieuvre.ca le 10 février 2010 Arts visuels, Musique

    Daphné Brouillet

    Tous les premiers vendredis du mois, le Musée d’art contemporain organise ses « Vendredis nocturnes », occasion de s’imprégner d’art et de cocktails de toutes formes.

    Ces 5 à 9, qui combinent prestations musicales, accès aux expositions et service de bar et flair permettent d’explorer la sphère contemporaine dans un contexte singulier. Rendez-vous branché pour voir et se faire voir? Certes, surtout qu’on a amplement le temps d’observer la faune environnante dans les longues et multiples files d’attente : pour les billets, le vestiaire, le bar, et même pour la salle de spectacle, qui ne peut accueillir tous les visiteurs, les derniers devant se contenter d’écrans diffusant le spectacle d’une heure dans le hall. La soirée du 5 février dernier, mettant en vedette une brochette d’artistes canadiens, en valait toutefois la peine. Le menu complet étant trop copieux, en voici un survol.

    Côté musique, le groupe montréalais Land of Talk a offert une performance inspirée. Malgré quelques problèmes de retour de son, Elizabeth Powell, la chanteuse, guitariste et leader a su charmer l’auditoire avec sa voix enjôleuse, posée sur une trame indie-rock aux accents folk, rappelant par moments PJ Harvey. Seule déception, les projections plutôt ordinaires que l’on pouvait entrevoir lorsqu’elles n’étaient pas voilées par l’éclairage.

    Côté exposition, la plus marquante est certainement celle de l’artiste multidisciplinaire originaire de Winnipeg, Marcel Dzama, intitulée Of Many Turns.  La première salle frappe immédiatement, avec ses vitrines macabres, composées entre autres de Pinocchios machiavéliques, chauves-souris, et même d’un pendu, qui scintillent dans une pièce plongée dans l’obscurité. De retour à la lumière, violence, érotisme et nostalgie continuent à s’entremêler dans des œuvres aux palettes austères (beaucoup de kaki, bourgogne, brun et grège). Les scènes de ballet militaire, dans lesquelles des soldats munis de baïonnettes font des arabesques, ou celles de torture, s’apparentent un peu, tant sur les plans plastique qu’iconique, aux armées sanguinaires illustrées par Henri Darger, une figure prédominante de l’Art brut, dans sa saga des Vivian Girls.

    Pour avoir une idée rapide de l’esthétique de Dzama, il suffit tout simplement de fouiller un peu dans la pile de disques. Si Guero de Beck traîne quelque part; vous avez devant vous un échantillon de ce qui fait maintenant courir les amateurs d’art!

    Marcel Dzama, avec Étienne Zack et Luanne Martineau, du 4 février au 25 avril au MAC.

    Partagez Facebook Twitter Pinterest LinkedIn Tumblr Courriel

    Articles similaires

    1 août 2022

    Shoegaze et distorsion pour Launder

    18 juillet 2022

    L’Orchestre de la Francophonie en format réduit

    12 juillet 2022

    Musique et militantisme féministe dans Rosemont

    Pieuvre.ca
    • Site web
    • Facebook
    • Twitter

    Répondre Annuler la réponse

    Abonnez-vous à l’infolettre!
    Visitez notre boutique
    Vous cherchez un contenu?
    Suivez-nous
    Dossiers spéciaux
    • Fantasia
    • Présidentielle française 2022
    • 45 ans du Stade olympique
    Nos podcasts
    • Entretiens journalistiques
    • Rembobinage
    • SVGA
    • Pixels et préjugés
    • Heure supplémentaire
    Récemment publié
    17 août 2022

    La mafia et les puissants aux commandes de la politique étrangère russe

    17 août 2022

    Se fier au savoir autochtone pour combattre la pollution plastique dans le Pacifique

    16 août 2022

    Le travail non payé a bondi de 50 % durant la pandémie

    16 août 2022

    Hébergez-vous un VPN malveillant?

    16 août 2022

    Beyond the Wire : un concept, mais rien de plus

    Informations
    • Votre semaine tentaculaire
    • Contribuez au succès de Pieuvre.ca
    • Notre équipe
    • Contactez-nous
    • Annoncez sur Pieuvre.ca / Advertise at Pieuvre.ca
    © 2009-2022 Hugo Prévost. Tous droits réservés.

    Tapez ci-dessus et appuyez sur Entrée pour rechercher. Appuyez sur Echap pour annuler.