« Il existe une dissémination mondiale, sans frontières, de contenus antisémites sur les médias sociaux, le tout à une échelle jamais vue », dénoncent les spécialistes.
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Intégrer ces algorithmes dans de réelles applications pourrait toutefois s’avérer complexe pour les programmeurs et prendra probablement plusieurs années.
Pour environ une centaine de dollars, en comptant le prix de la perche servant à suspendre l’anneau lumineux, il est donc possible de s’équiper d’un ensemble complet permettant de disposer d’une image de très bonne qualité lors des visioconférence.
« Ces résultats portent à croire qu’il existe un cycle de propagation des biais entre la société, l’IA et les internautes. »
Pour éviter de futurs dérapages, les auteurs du rapport recommandent de pouvoir examiner les algorithmes de recommandations des platesformes numériques.
« C’est bien quand un jeu sert aussi d’outil qui permet de se poser des questions, et non pas uniquement comme source d’informations. »
73 % des jeunes suivent au moins un influenceur sur les réseaux sociaux ayant déjà exprimé des opinions anti-scientifiques.
Dans son rapport publié le 3 juin, NewsGuard précise que les trois sites relayant de fausses informations les plus suivis sur les médias sociaux, tous trois anglophones, sont OANN.com, ZeroHedge.com, et OrganicConsumer.org.
La junte planche sur un projet de loi qui pourrait bloquer les contenus web sans avoir besoin de l’accord des tribunaux, en plus de pouvoir interdire l’utilisation des réseaux privés virtuels.
Les fonctionnalités limitées et la protection renforcée de la vie privée ne sont pas le modèle d’affaires des géants de la technologie.