Les différences sont aussi marquées lorsque vient le temps d’écouter de la vidéo (80% des jeunes contre 65% des Québécois) ou de la musique (76% contre 40%); la tendance est toutefois inversée pour ce qui est de l’écoute de la télévision traditionnelle (47% contre 63%).
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Le modèle des chercheurs permet de mieux comprendre pourquoi, par exemple, une publicité de 30 secondes durant le Super Bowl coûte 7 millions de dollars.
Sur Wikipédia, ce sont 54% des articles qui contiennent au moins l’un de ces liens « brisés », dans leur section ‘Références ». Au total, 11% de toutes les références listées sur ce site ne sont plus accessibles.
L’absence de visibilité de ces articles découle de la façon dont bien des internautes utilisent les outils de recherche, ainsi qu’à la méthode utilisée pour lire des pages sur le site de l’encyclopédie.
Le chroniqueur répond aux questions d’Hugo Prévost à propos de la difficulté de rejoindre les internautes (et ses propres enfants), le fait de donner son opinion en ligne et l’attrait de cette forme de communication très web 1.0.
La centralisation aux mains des plateformes que sont les Google, Amazon et autres Facebook, de même que la commercialisation de nos données personnelles, sont « deux problèmes connectés » l’un à l’autre.
L’idée de neutraliser la désinformation par des stratégies préventives — soit de « vacciner » contre la désinformation, pour reprendre l’expression de certains chercheurs — a fait l’objet de plusieurs études dans la dernière décennie.
« Les effets négatifs des médias sociaux sur le bien-être ne découlent pas seulement du fait que nous nous comparons à d’autres, mais parce que nous pensons que les autres ont une meilleure opinion de nous-même que la façon dont nous nous voyons, dans notre tête. »
La question des revenus publicitaires, qui est déjà au coeur des tensions entre les différentes plateformes et les médias qui y diffusent des contenus, n’est toutefois pas nécessairement plus claire sur ce service, à l’instar de Facebook, Instagram, Twitter et consorts.
Colette Brin, directrice du Centre d’étude sur les médias de l’Université Laval, explore les conclusions d’un coup de sonde révélant que les Québécois ont peu changé leurs habitudes de consommation de nouvelles sur le web.