Que l’écosystème de la désinformation en santé soit lucratif en ligne, en partie grâce à la « monétisation » des contenus que permettent les grandes plateformes, n’est évidemment pas une découverte.
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Sur Twitter (aujourd’hui appelé X), « la communauté dénialiste produit ou relaie 3,5 fois plus de messages toxiques » (définis comme « des obscénités, des insultes, des menaces, des attaques sur le genre ou la religion »)
La question des revenus publicitaires, qui est déjà au coeur des tensions entre les différentes plateformes et les médias qui y diffusent des contenus, n’est toutefois pas nécessairement plus claire sur ce service, à l’instar de Facebook, Instagram, Twitter et consorts.
Camille Dauphinais-Pelletier répond aux questions d’Hugo Prévost et explique comment le fait de s’adapter à de nouvelles plateformes est essentiel pour rejoindre le public et lui parler des enjeux de l’heure.
C’est du côté des gens s’informant sur les médias sociaux que les résultats sont les moins bons: 53 % des participants passant par Snapchat pour connaître les plus récentes nouvelles ont obtenu un mauvais score. Truth Social, la plateforme liée à Donald Trump, est aussi synonyme de mauvais résultats lorsque vient le temps de départager le bon grain de l’ivraie journalistique.
Les utilisateurs de TikTok qui s’oppose à la vaccination contre la COVID-19 utilisent un langage volontairement codé, des mots mal écrits, ainsi que des mots-clics alternatifs pour échapper aux efforts de lutte contre la désinformation.
« Si l’issue du mouvement de revendication des manifestants iraniens demeure incertaine, une chose semble claire : la révolution pourrait ne pas être télévisée, mais elle sera « aimée », « modifiée » et « partagée en duo ». »
Des chercheurs et des journalistes pourraient tenter de prédire les fausses nouvelles qui vont émerger lors de la prochaine crise sanitaire afin de les « pré-déboulonner ».
De la vulgarisation sur Twitch à travers un direct de 24 heures? S’il y a longtemps que la vulgarisation se fait à travers les « vieux » réseaux sociaux, la pandémie et le confinement ont poussé certains vulgarisateurs à s’approprier de nouvelles plateformes.
Coup de tonnerre aux États-Unis, où les tensions entre Washington et Pékin viennent de repartir à la hausse. Le président américain Donald Trump a signé une décision exécutoire, jeudi soir, interdisant d’ici 45 toute transaction financière en lien avec les populaires applications chinoises TikTok et WeChat.