Le calvaire se poursuit pour June, alias OfFred, dans la deuxième saison de l’adaptation télévisuelle de The Handmaid’s Tale, le roman dystopique à succès de Margaret Atwood. Cette fois, la société théocratique de Gilead semble se rapprocher de l’éclatement, mais les forces de l’obscurantisme n’ont pas dit leur dernier mot.
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Dans la tourmente d’une certaine redites dans nos téléséries québécoises se cachent par moment des petits bijoux, et ICI Radio-Canada surprend à nouveau avec l’impressionnante première saison de Faits divers, captivant projet provenant de la collaboration de l’auteure Joanne Arseneau et du réalisateur Stéphane Lapointe dont l’union fait carrément des étincelles.
Le dénouement était (largement) connu à l’avance: la télésérie d’animation Star Wars Rebels, présentée sur les ondes du Disney Channel depuis quatre ans, ne disposait plus que d’une infime marge de manoeuvre scénaristique, coincée entre sa propre évolution narrative et les impondérables de l’univers de La Guerre des Étoiles. La série prend donc fin après quatre saisons fort bien remplies.
Mettant en vedette James Franco et Maggie Gyllenhaal, la série télévisée The Deuce nous replonge dans le New York du début des années 1970, alors que l’industrie du sexe s’apprêtait à sortir de l’ombre, et à infiltrer la culture populaire.
C’est un fait, au Canada comme ailleurs, les grands noms de l’univers numérique, les Facebook, Google, Amazon, Apple et Microsoft de ce monde – GAFAM pour les intimes -, continuent de consolider leur importance et leur force en ligne. Selon la plus récente édition du Rapport sur les tendances du Fonds des médias du Canada, toutefois, les consommateurs sont de plus en plus à la recherche d’alternatives viables.
Une autre année, une autre saison de Black Mirror. Une autre année et des poussières, devrait-on dire, puisque la nouvelle fournée d’épisodes de la série dystopique mise au point par le grinçant Charlie Booker est cette fois débarquée sur Netflix en plein congé des Fêtes, plutôt qu’à la fin de l’automne, comme ce fut le cas en 2016.
Les nombreux amateurs de Game of Thrones voudront absolument mettre la main sur le coffret de cette excellente septième saison, dont le seul « défaut » est d’être un peu plus courte que les précédentes.
Frank Castle est en mission. Après avoir effectué une partie de sa vengeance contre ceux qui ont assassiné sa famille dans la deuxième saison de Daredevil, voilà que le Punisher a droit à sa propre série, dont la première saison est disponible sur Netflix depuis la semaine dernière.
D’abord l’excitation. Puis une certaine déception. Alors qu’il ne reste maintenant plus que huit épisodes à la saga télévisée Game of Thrones, force est d’admettre que derrière le wow factor se trouve un vide qu’il semble impossible de combler.
L’annonce de la mise en ondes de la télésérie avait fait grand bruit, et pour cause: le roman de Margaret Atwood, The Handmaid’s Tale, adapté pour la télévision par la chaîne de contenu sur demande Hulu, dépeint une Amérique ultraconservatrice et religieuse où les femmes fertiles sont traitées comme des utérus ambulants servant uniquement à la reproduction de l’espèce. Lancer ladite série en plein début de l’Amérique de Donald Trump, c’est déjà porter un message politique.